Gourmandise. Je suis absous de ce péché, mais quand je savoure un bon plat, je le dévore jusqu’à la dernière bouchée. Je suis mauvais cuisinier. Les cordons-bleus, comme Diane ou Marion, ont toujours à la fois de la patience et de l’imagination. Même lorsque j’effectue une tâche aussi banale que couper de l’ail, je fredonne Le Chant des bateliers de la Volga. Malgré une bonne dizaine de tentatives, je n’ai jamais réussi à préparer une tourte au poulet sans que la croûte ne s’effondre dans la garniture. J’en ai pleuré de rage. p. 109.