« Il s’approcha du portrait de Jeanne Hébuterne. Quel privilège d’être ainsi en tête-à-tête avec un chef-d’œuvre de la peinture. Bouleversé, il chuchota quelques mots. Il n’entendit pas Mathilde Mattel s’avancer. Elle resta d’ailleurs un instant à observer cet employé figé devant un cadre ; une contagion de l’immobilité. Elle finit par demander doucement :
— Vous parlez au tableau ?
— Non… pas du tout, balbutia-t-il en se retournant.
— Vous faites ce que vous voulez de votre vie privée. Cela ne me regarde pas, dit-elle en souriant. »
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