Journal pour Augusta, le 29 septembre 1816 : "…et ni la musique du berger—ni le fracas de l'avalanche— ni le torrent— la montagne— le glacier— la forêt—ou le nuage— n'a pu, un seul instant— alléger le poids qui pèse sur mon coeur— ni ne m'a permis de perdre ma misérable identité dans la majesté, la puissance & la gloire—de tout ce que j'avais autour—au dessus—& au dessous de moi. "
Avis de xagore sur Lettres et journaux intimes de Lord Byron
Drôle—facétieux—franc & sincère— intelligent—moderne, trop peut-être pour son époque, y compris dans la typographie.
Pourquoi j’ai aimé ? :
Par ce que c'est drôle
Ça parle de quoi ?:
correspondance de Lord Byron et extraits de ses journaux (ceux qui n'ont pas été brulés)
Poème que Lord Byron envoie à son éditeur, Murray, pour l'aider à refuser la tragédie de Polidori, août 1817 :
"Byron—qui faisait mieux jadis,
Dans une lettre m'a transmis—
Un truc— qui n'est pas plus un drame
Que Darnley—Ivan—ou Kehame Il baisse tant depuis un an—
Sa plume à ce point s'amenuise—
Que je soupçonne qu'à Venise—
Il fait l'étalon, épuisant
Sa cervelle qu'il aliène
Pour quelque chaude Italienne."