À l’embaumée des fleurs
À l’embaumée des fleurs
La rivière s’élargit en étang
Elle s’éteint en transparence
À l’ombre adoucie des vieux
ormes
Et l’eau dormante aux fonds
obscurs
Assumée
Calmée
Dans sa pause incertaine avant
la mer
Réfléchit mon visage
Détendu
Pour un moment volé au temps