De temps en temps ils se raccommodent et me battent tous deux à la fois ! Les raccommodements durent peu.
Je suis bien malheureux, mais j'ai toujours à cœur le reproche sanglant de mon père, et je me dis que je dois expier ma faute, en courbant la tête sous les coups et en bûchant pour que sa situation universitaire, déjà compromise, ne souffre pas encore de ma paresse !
Je fais tout ce que je peux ; je me couche quelquefois à minuit, et même ma mère, qui jadis m'accusait de dormi trop tôt, m'accuse maintenant de brûler trop de chandelle :
« Et pour quoi faire ? Des...