Je suis au début de" l'apocalypse de Jonathan "je suis touchée par l'écriture;le style est clair,précis et l'auteur Samuel Dock à le talent de rendre accessible le sujet de son roman......beaucoup de talent....
Je suis au début de" l'apocalypse de Jonathan "je suis touchée par l'écriture;le style est clair,précis et l'auteur Samuel Dock à le talent de rendre accessible le sujet de son roman......beaucoup de talent....
Je suis au début de" l'apocalypse de Jonathan "je suis touchée par l'écriture;le style est clair,précis et l'auteur Samuel Dock à le talent de rendre accessible le sujet de son roman......beaucoup de talent....
Samuel Dock est psychologue clinicien. Sa passion pour Dostoïevski a contribué à nourrir sa sensibilité créative. L'Apocalypse de Jonathan est son premier roman.
Ma génération espère le sexe sans considération, pour la performance tout au plus. C'est un des rares terrains où nous confronter aux adultes, faire pire et donc mieux, repousser les limites, réinventer les normes. Outrancièrement nonchalants, nous déchirons nos corps sur les autres, la liberté des dupes, on peut faire tout ce que l’on veut puisqu’il le faut. La guerre est polymorphe.
Toute l’humanité, de l’homme de Neandertal jusqu’à l’informaticien, du pharaon au boulanger, toute l’humanité devait un jour y être confrontée et la mort même n’est plus un refuge à la néantisation. Les morts attendaient qu’on vienne les prendre, en dormant d’une singulière manière. Ils seront juste plus faciles à transporter, la poussière est déjà poussière, il n’y a qu’à les disperser dans les airs pour un sol neuf et sec, sans légataires pour tout ce qui a été dit et ce qui ne le sera jamais.
Avis de Lému sur L'Apocalypse de Jonathan
Une plume virtuose, un récit puissant. Ballotté par nos émotions, celles de Jonathan, on suit le cheminement de ce jeune homme dont on finit par se demander s'il n'est pas la figure du fou. Celui qui, endossant le masque de la folie, fait preuve de la lucidité qui nous fait tant défaut. Il dit et voit ce que nous tentons d'occulter. Il brûle, trop vite, trop brillant, dans ce monde, dans sa génération. Il est des ténèbres qui éclairent, il est de celles-là. On y retrouve l'atmosphère d'un Cunningham et, de Dostoievski, la précision et la justesse de l'âme humaine.
Pourquoi j’ai aimé ? :
La qualité de l'écriture et la richesse des émotions. Les portraits de personnages sont également bluffants.
Ça parle de quoi ?:
De tellement de sujets...
C’est écrit comment ?:
De manière vivante mais travaillée, on est happé par le récit mais on apprécit la richesse langagière.