« La fille qui rêvait d’un bidon d’essence et d’une allumette » annonce un deuxième tome aussi vif que le précédent. La première de couverture représentant la jeune hacker titille notre curiosité. Mademoiselle Lisbeth est le personnage insaisissable au centre de ce roman. Son inaccessibilité la rend séduisante, et le malheureux secret qui l’entoure lui offre un caractère sympathique et attachant. Super Blomkvist dont l’un des nouveaux journalistes de Millénium vient de se faire assassiner, se retrouve confronter au passé tumultueux de son ancienne coéquipière d’investigation. De nouveau Stieg Larsson crée l’angoisse à travers la réalité du trafic humain des filles de l’Est. Les descriptions et les actions semblent loin de la fiction. Le lecteur est très vite happé par le flux d’informations et le soucis de réalisme. Le lien étroit qui unit les deux personnages principaux fait dérouler deux enquêtes différentes mais implicitement liées. A chaque page un lien se crée et une nouvelle piste s’ajoute à l’intrigue. Le deuxième tome suit toujours la même directive : il nous captive.
Les lauréats du Prix Mare Nostrum 2024 vient de livrer la liste de ses lauréats. Chaque lauréat recevra une dotation de 2 000 € pour sa c
Légende photo : en haut de gauche à droite : Deloupy (Les Arènes), Carole Maurel (Glénat), Pierre Van Hove (Delcourt/La Revue Dessinée), Sébast
La Centrale Canine décerne chaque année son Prix Littéraire aux 3 meilleurs ouvrages mettant à l'honneur la relation humain-chien.