Nouvelle Version Juillet 15
Extraits gratuits deux premiers chapitres.
Bon Téléchargement à Tous !
Pierre Puccio
JESUS RESURRECTION ASTRALE
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La Résurrection de Jésus est un fait qui a marqué l’Histoire de l’Humanité. Approuvée ou controversée la résurrection reste inexpliquée et inexplicable même par l’Eglise, et elle le demeurera tant qu’aucune recherche, hors des sentiers battus, n’aura débuté. Ces domaines méconnus le sont par peur de l’inconnu car on s’arrête à ce qui est visible et reconnaissable. Ainsi ne recherchant qu’en surface l’entendement ne serait guère favorisé avant longtemps. Mais que l’on se rassure, il ne sera porté grief à personne qui n’ait point choisi d’approfondir les mystères.
Ce livre tente de répondre aux questions que s’est posé au moins une fois dans sa vie le commun des mortels.
Qu’est-ce que l’âme ? Quelle est l’origine de la vie ? Que devient-on après la mort ? Quel est le sens de la résurrection ? Y aurait-il identité en soi ? Serait-ce le corps charnel qui ressusciterait ?
Il y a pourtant des indices révélateurs comme les « trois jours de Jésus au tombeau » ! Ils correspondent à « un temps d’attente » nécessaire pour que l’âme se détache de l’enveloppe charnelle ou du corps physique si l’on préfère. Par déduction, on pense que ce processus vital serait universel pour ce qui est du détachement de l’âme uniquement. Ce détachement s’accomplit à compter de ce que l’on nomme également le corps éthérique, ou le double éthérique avec sa « corde d’argent ». Mais ce corps éthérique n’appartient qu’au corps lui même et au plan de la matière. Il est donc à différencier de l’âme, de même qu’il est à différencier de l’esprit ou corps astral, formant le corps fluidique complet.
Il est vrai qu’il peut être difficile de concevoir toutes ces choses, surtout à l’époque actuelle où l’on verse dans l’informatique, le virtuel, l’artificiel, le superficiel sous l’influence d’Uranus. Mais ce n’est pas parce que l’Eglise s’est détournée du ciel et que la science se refuse à admettre ce qu’elle ne peut pas prouver, qu’il n’y aucune réalité.
Les uns comme les autres, ignorons des domaines qui nous sont inconnus. Comment pourrait-on tout connaître le temps d’une existence éphémère ?
L’Eglise ne s’est jamais intéressée aux témoignages de gens ayant subi une expérience de mort imminente, alors qu’il y aurait une piste à suivre. Grâce à ces personnes une brèche est ouverte. Ces gens ont pu détailler par la suite leurs sensations, après avoir franchi partiellement le seuil de la mort. Quelle est la raison de ce tunnel souvent décrit, au bout duquel une lumière resplendissante enveloppe le témoin, durant son évasion momentanée hors de la matière ? Comment expliquer la présence d’un proche décédé ayant assisté l’être durant cet instant à jamais inoubliable ?
La science dirige des recherches utiles et le génie de l’homme est infini, mais il ne tient pas compte du divin. La parcelle divine venant s’incorporer dans la matière lors d’une incarnation. Celle qui anime l’être, distincte de son intellect qui n’appartient qu’au corps, cela n’est même pas supposé par la science qui privilège le monisme pour déterminer ce qu’est la conscience chez l’homme. Dans cette optique, il y a absence de dualité venant opposer l’Esprit et la chair. La matière et la lumière. « Bonne Lecture à Tous ! »
Chapitre I
La résurrection de Jésus est une voie évolutive, tendant à rejoindre dans la lumière, « le Seigneur », qui n’est ni Dieu, ni une entité, ni le Christ.
Si la plupart des atomes constituant le corps matériel proviennent des étoiles, à l’exception de l’hydrogène et de l’hélium produit par le big-bang, le corps astral immatériel, support de l’esprit non limité à l’intellect, proviendrait de l’origine d’un autre monde exempt de matière. Par la voie christique, sans connotation religieuse particulière, nous envisageons également la résurrection du Christ comme un chemin ou un moyen permettant de retrouver nos origines extraterrestres, mais sans tenir compte de « la théorie des anciens astronautes ». Les adeptes soutenant cette thèse, semblent abusés, enclins à vénérer de soit-disant « dieux ». A quand l’édification d’un ancien « Veau d’Or », version « Verseau » ?
L'origine du corps Glorieux et non terrestre, se dessine dans le ciel. C'est la mandorle entourant le corps astral du Christ ou corps Glorieux nommé ainsi par saint-Paul. Ce corps fluidique, difficilement observable est souvent confondu avec le double éthérique. Son éclat, variable d'un individu à un autre, peut être atténué ou même effacé, faisant que ces gens sont déjà morts en étant vivants.
Les Quatre Évangélistes, illustration ci-après. La mandorle en forme d'amande reproduit parfaitement le corps astral. Autour 4 animaux associés à deux apôtres et deux disciples. Cela signifie qu'il faut avant tout penser ciel pour situer cet ensemble dans son contexte et comprendre que le corps de résurrection ne peut être charnel.
©The Bridgeman Art Library/ Getty
Hormis la bonne intention des commentateurs, qu'ils soient des religieux, des théologiens, des écrivains, on parle en vain de ce corps glorieux, alors que proche de soi, il est intrinsèque à l'esprit. Les tendances, les actes, les intentions, les pensées provenant de l'anima et de l'animus d'un individu, conjuguées à des influences extérieures auxquelles il s'identifie et participe activement ou passivement, modifient le rayonnement de ce corps.
Tant que les idées ne dépasseront pas le niveau de la matière et celui du plan physique, on ne parviendra pas à expliquer les apparitions du Christ ressuscité. On continuera à échafauder des thèses et des hypothèses à n’en plus finir, sans approcher une vérité vraie. On cherche rationnellement des explications à des manifestations irrationnelles. On veut à tout prix rendre charnel, le corps de Jésus ressuscité. C’est un peu naïf. Mais ce n’est pas un chemin qui mène au début d'une compréhension. On ne prétend pas détenir la science infuse, chacun avons nos lacunes. Mais au moins, pour le peu, autant le faire partager à tous ceux qui ne recherchent pas en surface.
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Sans prétention donc, mais en se justifiant en son âme et conscience : hormis les Évangiles, et en se basant sur des sources inédites provenant de travaux et de dialogues échangés avec l’écrivain ésotériste, Maurice Guinguand, on ne s’est inspiré d’aucun ouvrage pour une bonne raison. Beaucoup d’auteurs ainsi que la plupart des représentants de l’Église catholique malgré une grande érudition se basent essentiellement sur le plan visible, et c'est normal. Mais rares sont ceux qui ont cherché à remonter du visible à l’invisible. Pour ce faire, on a besoin d’un support en liaison avec le ciel, la mandorle le fournit. Cette mandorle en forme d’amande a servi à la représentation du Christ en Gloire. Or, cette représentation graphique d’un aspect éthérique et astral n’a jamais interpellé l’Eglise !
Pourquoi l’Eglise a t’elle rejeté le savoir qu’exprimait le christianisme ?
D’une part, par ignorance, et surtout parce que Saint-Paul a souhaité atteler le Nouveau-Testament à l’Ancien testament dans lequel la « Loi de Moïse » interdisait de percer les mystères du ciel sous peine d’anathème. Par la suite, pour entretenir un « Pouvoir » sur les fidèles l’Église chrétienne fit perdurer cette loi et cette sentence durant des siècles.
D’autre part, l’Aura, souvent retranscrite au Moyen-Age, aux tympans des églises romanes, cette figuration était réservée aux Saints, à la Vierge, et le plus souvent au Christ. Les Pères de l’Eglise l’ont délaissée. De ce fait, ils n’ont jamais pu établir de lien avec la mandorle manifestant le corps astral du Christ à un niveau supérieur et celui de l’être incarné à un niveau inférieur.
Cette mandorle qui tire son origine du ciel reproduit parfaitement le corps astral. Ce corps immuable dans le temps, mais sujet à des variations de luminosités selon l’anima d’une personne, le Christ l’a manifesté avant et après sa résurrection. Avec un peu d’imagination, faute de détenir la faculté de voir les auras, on pourrait supposer dans la première phase précédant la mort, que ce corps astral serait le véhicule de l’esprit.
L’Église aveugle n’accrédite aucunement la supposition d’un corps invisible, siège de l’esprit, jugeant irrecevable l’idée même. On se demande sur quoi se réfère-t-elle pour envisager la résurrection ? Que l’Eglise fonde son espérance sur Jésus le Christ ressuscité, c’est légitime. C’est la raison pour laquelle elle est missionnée. Le Christ n’a t’il pas dit, Jean, 6-47 : « En vérité, en vérité, je vous le dis , celui qui croit en moi a la vie Eternelle » ? S' il n’y a pas de raison de s’interroger, on peut très bien s’en tenir à la Promesse du Christ et vivre tranquillement sa vie, en essayant d’aimer son proche comme soi-même, si possible.
- La vie n’est-elle pas un chemin de Foi ? Parsemée de doutes, d’aléas divers, de peines, de souffrances, rarissime une vie exempte de maux. Quand on pense que la Terre est la planète de la mort où la durée de la vie est la plus courte, on se demande pourquoi a t’elle été prise comme seule dépositaire d’un message divin ? La science l’expliquera peut-être un jour, mais on ne le pense pas. –
On comprendra aisément, à quelques exceptions près, que seule la croyance et la Foi ne pourraient prédisposer un individu à l’esprit cartésien à concevoir une autre réalité que la sienne sur un plan non-physique. Quand bien même il serait un religieux ou un savant. Ce n’est pas péjoratif, mais souvent on constate un manque d’élévation mentale et spirituelle. Cet apport faciliterait l’entendement pour approcher d’autres réalités en dehors de la matière comme : les apparitions du Christ ressuscité.
Le cas du Christ est unique. Il est parvenu à transparaître visiblement sur un plan terrestre, mais sûrement pas comme on a voulu le croire, c’est à dire, identiquement à la personne physique qu’il était avant sa résurrection. Durant la résurrection de Jésus une transformation s’est opérée, le rendant apparemment vivant, non plus en chair vivante et organique, contrairement à ce que pense l’Église catholique et les fidèles, mais en chair astrale et divine.
Sur un plan supérieur cette évolution peut reprendre un aspect naturel, comme elle peut aussi devenir tout à fait lumineuse, donc blanche. C’est ce qu’il se produisit sûrement au tombeau du Christ, lors de la visitation des Saintes-femmes. Mais elles ne virent devant elles qu’une forme, alors qu’il aurait fallu atteindre un niveau supérieur pour réaliser que le courant vibratoire émit par la forme informelle, n’était ni plus, ni moins que « Le Seigneur ».
Il y a des preuves dans le visible de l’invisible, mais on s’arrête à l’état dans lequel nous sommes. De même pour la résurrection de Jésus on ne voit pas. Il y a identité en soi dans bien des cas, mais appréhendant l’inconnu, on ne croit pas.
L’important n’est pas de croire mais plutôt de rechercher « un savoir » qui permettrait une ouverture vers ce que l’on ne connaît pas. Or, la plupart du temps, ne préfère-t-on pas se soumettre naïvement à l’autorité de l’Eglise qui pour toute réponse argumente la « Toute-Puissance » de Dieu pour se soustraire aux questions qui l’embarrassent. Il en est ainsi depuis près d’un millénaire !
Le Christ
Ce corps devenu Glorieux ou divin dans l’aura du Christ serait le réceptacle de l’esprit dans l’après vie. Seul Jésus ressuscité rendit visible en apparence, ce corps qui enveloppe l’être humain dans sa totalité. Les premières étapes de la résurrection en témoignent.
On retrouve ci-après, la mandorle en forme d’amande. C’est sous cette forme qu’on a représenté le Christ en Gloire. Cette aura est à différencier du double éthérique de couleur jaune qui n'appartient qu’au corps physique et au plan matériel. C’est ce premier corps éthérique qui peut être observable et que beaucoup confondent avec le corps astral de couleur bleu. On a dit que ce corps était intrinsèque à l’esprit, mais non neuronal. Il ne s’agit pas de l’intellect. Mais néanmoins, ce qui anime un individu, sa manière d’être, de penser et d’agir, interagit justement avec ce corps. On remarquera que dans sa partie supérieure, la mandorle est en liaison avec un angle de 77° marqué en pointillés. D’après Maurice Guinguand auteur de l’illustration ci-après : Le 2 è monde de l’homme : « L’angle de 77 ° permet le passage d’un plan visible à un plan invisible ! ».
Il n’y a qu’un pas .. Si on transposait la crucifixion de Jésus ou le phénomène de l’Ascension on pourrait peut être saisir le sens réel de ces évènements extraordinaires que le Christ a manifestés à une humanité aveugle. -Mais on pourrait également établir une relation directe avec soi. La partie supérieure dépassant de peu la limite du carré de la matière comprend le psychisme de l’être d’appartenance toujours au corps. C’est donc qu’au-delà, à la limite du sommet du crâne, il y aurait autre chose venant de l'extérieur.
Cet « autre chose » pourrait être l’apport d’une « énergie-supérieure » qui entrerait en contact avec « la psyché », (non-contemporaine), ou les ouvertures que l’être humain incarné aura ou non préparées, et selon un déterminisme propre à sa trajectoire.
Par la voie christique, cette énergie supérieure serait probablement le Saint-Esprit, de même que le Seigneur. Le baptême crée une ouverture.
Les croyances, les convictions peuvent jouer. De même, lorsqu'il il y a notion du spirituel, ou encore recherche mentale. Le recueillement, la méditation, la contemplation, l'interrogation, la création, les réalisations, le don de soi, etc.. Tout ce qui du vivant, engendre une évasion du psychisme vers ce qui dépasse l'homme créerait une ouverture, ou tout au moins, prédisposerait à une réceptivité certaine.
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Croyants ou non. Pratiquants ou pas, chercheurs, représentants du christianisme .. Il semblerait que très peu de gens parviennent à établir un lien entre les « trois jours de Jésus au Tombeau », sa résurrection, ses apparitions, et le devenir de l’être.
Au seuil de la mort, l’individu lui aussi nécessite un temps de trois jours, plus ou moins, pour que le corps éthéré se sépare définitivement du corps physique. Même hors contexte spirituel, on pourrait prendre la réalisation de Jésus comme sujet d’étude. Autant d’indices vérifiables sur un plan astral et non astronomique, permettant du vivant une représentation abstraite de ce que l’on ne voit pas, mais se dévoilant dans l’ au-delà.
Tant que la croyance prédominera l’entendement se bridera, ne laissant filtrer que les prémices d’une compréhension issue d’un enseignement déformé et pour cause. Jadis, les Pères de l’Eglise chrétienne ne cherchant pas à comprendre ce qui était caché dans les Écritures avortèrent le moyen qui aurait permis une élévation mentale pour approcher sur un plan autre que celui de la chair, la résurrection (non physique) de Jésus. Or, la manière qu’ils ont adoptée pour instruire sur la résurrection, même un adolescent aurait peine à la croire. Par cette influence, des millions de gens dans le monde supposent sans comprendre que la résurrection s’est accomplie dans le corps charnel de Jésus.
Or, même littérairement ce n’est pas exact du tout. L’apparition du ressuscité à Marie Magdaléenne le prouve comme d’autres faits manifestes dans les Évangiles. Malheureusement ces textes ont pu être écourtés, et ils n’ont pas fait non plus l’objet d’une étude approfondie.
Lorsque Jésus-Christ se trouvait sur le rivage de la mer de Tibériade, les disciples eux aussi ignoraient que ce fût Jésus. Pour eux, c’était en quelque sorte un individu qui par curiosité demandait : « Les enfant ! Avez-vous du poisson » ? Seul Saint-Jean s’aperçut que c’était le Seigneur !
Par la suite, quand ils mangèrent avec Lui comment comprendre qu’ils ne purent le reconnaître ? C’est assez étonnant! Mais révélateur. Si ils n’y parvinrent pas, alors qu’ils avaient vécu trois ans durant avec lui, c’est que le personnage qui apparaissait devant eux, n’était pas de nature et d’aspect identique à eux. C’était une apparence, ou une force invisible, manifestant une forme plus ou moins humaine, sans qu’elle le soit cependant.
Cette première phase permet d’approcher le sens de la résurrection dans sa première étape. Ce qui signifierait : une ouverture. Ou Passage d’un plan visible à un plan invisible.
Sans sectarisme mais plutôt par automatisme, ou réflexion instinctive due à l’éducation peut être, la voie christique interpelle pour débuter une recherche mentale à caractère spirituel. Sans besoin d’ascèse, il est possible d’approfondir le devenir de l’être incarné.
Au regard des millénaires passés, une prédominance est manifeste dans « la résurrection de Jésus ». Antérieurement l’idée avait germé, mais elle n’avait pas revêtu l’apparence que lui donna généreusement la lumière pour que le Verbe se fasse chair en la personne de Jésus.
Le Christ apporte des éléments nouveaux. Il ouvre une voie. Il est un intermédiaire. Un messager envoyé d’un plan divin le personnifiant. Il est dirigé, prédisposé, conduit par une force supérieure qu’il est « missionné », si on peut dire, d’unifier en lui d’abord, afin de la répandre par la suite pendant la seconde période de son incarnation. Pour que les Écritures s’accomplissent. Comme l’annonçait Jean le Baptiste : « moi je baptise dans l’eau de la terre, mais celui qui était avant moi et qui vient après moi, baptise dans le Saint-Esprit ».
Le corps de résurrection de Jésus est un modèle permettant de saisir ce qui se passerait lors de sa propre désincarnation et après. Du moins, jusqu’à un certain seuil observable et envisageable depuis ici bas.
On pourrait se demander et rechercher qui avant le Christ a laissé semblable exemple instruisant sur la nature d’un corps invisible. C'est dans ce corps qu'il sera possible à l’être de recouvrer une conscience durant le passage de la mort à la vie, et jusqu’au franchissement d’un nouvel état que l’on nommera : astral-supérieur. A compter de ce niveau, il y aurait accès à d’autres mondes, et à d’autres modes d’existences que nous ne connaissons pas encore.
Ce qui faisait dire à Jésus : « Il y a plusieurs appartements dans la maison de mon Père.. ». Cette “maison” pourrait-être comprise comme une demeure originelle, issue de la lumière indéfinissable dont aucun être sur la terre ne sait rien.
Dans l’autre monde d’après la vie ou après la mort, comme on veut, il n’y a pas d’entrée spécifique indiquant « christianisme » suivez la flèche, « bouddhisme » c’est par là. Aucune directive provenant du sens originel n’influence l’esprit dans sa progression, ou sa régression. -Seule l’imprégnation individuelle due aux croyances personnelles ou de groupes, ferait qu’un bouddhiste verrait plus certainement selon ses propres projections, des divinités, le bouddha. Et un chrétien verrait des saints, Jésus, ou la Vierge Marie. Un athée pourrait très bien découvrir un environnement agréable peuplé d’êtres lumineux, sans parvenir à cataloguer ou à reconnaître ce qui lui apparaîtrait. Il n’en serait pas moins assisté.
Ceux qui nuisent dans les quatre règnes ou dans l’un deux, auront des comptes à rendre. Selon leurs fautes, ils découvriront ceux qui les attendent et ce qui les attend. Croyance ou non.
L’Ascension de Jésus
Au-delà d’une croyance naïve, l’Ascension témoigne d’une origine céleste et d’un corps non charnel. La montée de Jésus dans le ciel terrestre n’est qu’une image masquant la réalité vraie.
Qu’en pense l’Église ? Excepté vouloir croire sans savoir, elle attribue sans doute cela à la toute puissance divine, ou « Père dans les cieux » favorisant l’Ascension à son « Fils Bien Aimé ».
Certes, l’Église perpétue authentiquement chaque dimanche le rituel de l’Eucharistie en enseignant, littérairement et spirituellement, la résurrection. Cependant jadis, nombreux textes furent jugés faux, tant ils embarrassaient les Pères « lettrés » ! Ces Pères catholiques, faute d’avoir une clarté d’esprit suffisante pour saisir le sens caché des Écritures ont façonnés une religion selon leurs vues. De cette manière, l’obscurantisme prédomina au sein de l’Eglise durant des siècles, et pis encore à notre époque, laissant le pratiquant à ses interrogations, et au même niveau d’ignorance que le sien, suprématie en moins.
Or, dans sa manifestation l’Ascension est une révélation qui n’a été assimilée qu’à travers une croyance aveugle, sans chercher à en comprendre le sens. De ce fait, les fidèles en général s’accordent à vouloir croire l’invraisemblable, concernant une hypothétique montée de Jésus au ciel. Mais de quel ciel s’agit-il ?
Si l’on souhaitait réellement comprendre, il faudrait dans un premier temps faire abstraction du corps charnel. Car en vérité ! l’Ascension ne comprend pas la chair. Dans le cas de Jésus-Christ, il s’agit de la jonction avec un plan supérieur manifesté dans le Christ avant qu’il ne disparaisse dans une sorte de nue, dont l’origine n’est pas terrestre, comme on pourrait le supposer sans pourtant y croire. Mais qui proviendrait d’un monde au-delà de la matière et dans la lumière.
C’est cette lumière irradiante, enveloppante, émanant du « Très-Haut » qui produisit dans l’Aura du Christ un état divin total. D’où le phénomène de l’ascension. Après qu’il ait franchi le « Passage d’un plan visible à un plan invisible .. ».
Voici ce qu’il faut comprendre. Jésus était ressuscité. Il avait progressivement changé de plan, de ce fait d’état, durant les « trois jours au tombeau » empruntant le « Passage ..». D’où son changement d’aspect qui n’était plus corporel, mais qui était informel plus exactement. Voilà pourquoi par la suite peu le reconnurent. Il est d’ailleurs très singulier que Marie-Madeleine croyant s’adresser au jardinier lui ait demandé : « Seigneur ! Si c’est toi qui l’a emporté, dis-moi où tu l’as mis .. ». Cela prouve qu’on ne reconnaissait pas la personne physique de Jésus à travers l’émanation « Seigneur ». Seule cette émanation pouvait-être perceptible et différemment perçue mais non de tous. Il est un mystère ! Mais « grâce à Lui » c’est le début d’une approche orientée vers ce qui ne se voit pas, et qui découlerait d’une origine, au-delà de la matière, et au-delà d’un monde incréé que le Christ justement pu rejoindre, lors de son Ascension. Sinon elle n’aurait pas eu lieu. Auparavant le Christ n’a t-il pas dit : « Je m’en vais préparer la place .. » ? Dans la voie christique, il s’agirait de la lumière du Seigneur ou de l’émanation de celle-ci. Ou encore de son principe fondamental englobant la vie dont l’univers dans son entier.
Le terme « Seigneur » introduit dans les Écritures depuis Abraham n’a pas été précisé, hormis dans les Évangiles où l’on peut (contrairement à l’Église), différencier le Seigneur de la personne physique de Jésus. Cette appellation le comprend peut-être sous une autre forme, en manifestant sûrement l’insondable, ou : « Dieu créateur de l’univers dans sa totalité ». C'est ce que la science à notre époque semble rejeter tant son génie l’aveugle.
La Résurrection de Jésus
Jamais aucun être humain décédé n’a pu trouver la force nécessaire, celle de l’Esprit sans doute, pour réapparaître parmi ses proches après la mort et à différents endroits en même temps. La résurrection de Jésus est unique dans l’histoire de l’humanité.
Il y a là un mystère, certes. Mais l’Eglise et ses prêtres auraient pu creuser un peu. Pourquoi vouloir croire sans savoir ? Il est permis de débuter une étude plus précise, orientée sur des faits historiques et révélateurs. Certains ont su le faire remarquer très simplement. Merci.
Puisse se propager dans le monde pendant qu’il est peut être encore temps le message contenu dans la tradition du christianisme. Nul ne prétend que le message contenu dans la tradition du christianisme soit le seul et unique savoir ou bien l’unique voie. Mais le fait de résurrection de Jésus est insolite dans l’Histoire de l’Humanité. Jamais aucun être humain après sa mort n’a pu réapparaître parmi ses proches aussi longtemps et à plusieurs endroits simultanément. Jésus aurait-il laissé volontairement à ses disciples un modèle pour que se perpétue dans tout les temps un enseignement ?
Une fois encore la tradition du christianisme ne détient pas l’unique connaissance, mais celle ci aurait peut être été plus adaptée à la pensée occidentale si l’Eglise l’avait traitée dans son ensemble. Ce qui ne semble guère avoir été le cas depuis plus de 700 ans !
Objectivement, très peu de gens parviennent à concevoir les apparitions du Christ ressuscité. La difficulté d’entrevoir une quelconque réalité dans les apparitions de Jésus après sa mort est légitime puisque celles ci ne relèvent plus d’un plan physique et palpable, malgré que la croyance en général, atteste du contraire sans savoir. C’est sur ce point qu’il y a confusion et c’est tout un problème. En lecture des Évangiles on pourrait penser à une résurrection charnelle, comparativement aux vues de saint Paul qui propose des idées totalement différentes, alors que paradoxalement, il n’a pas été un témoin direct et qu’il ne mentionne pas non plus le tombeau vide. Pourtant ce dernier rejoint une forme de pensée supérieure pour laisser supposer, (lui l’affirme), que la résurrection ne dépend pas d’un monde tri-dimensionnel, tel que nous le connaissons, mais d’une tout autre dimension où le corps physique n’a pas sa place.
Débutons. Bien qu’on ne saisisse pas le pourquoi de l’incarnation excepté peut être dans l’hypothèse de la chute, ayant provoquée l’incorporation dans la matière, une continuité s’ensuivrait tant que des cycles successifs de vies terrestres et extra-terrestres ne seraient pas arrivés à termes selon un ordre respectif. La réincarnation si on y croit, ne serait somme toute, qu’une notion arbitraire au regard de l'Eternité.
Concernant maintenant le double éthéré ou corps de résurrection qui n’est pas charnel, peu le voit. Sur un plan d’après la mort il a une existence. Il est différent de l’éthérique qui n’appartient qu’au corps lui même et de notre point de vue, c’est sans doute par ce corps que Jésus transparut. Le cas est exceptionnel. Jésus ou plutôt le Christ ressuscité parvint à apparaître physiquement sous une forme plus ou moins ressemblante à celle qu’il avait eu de son vivant. C’est extraordinaire ! C’est le moins qu’on puisse dire même pour un être à part. Mais on ne voit pas ainsi les prémices de la résurrection. On ne pourrait l’imaginer et encore moins l’envisager pour soit même. C’est assez contradictoire comparativement au besoin de croire ?
Pour les fidèles, souvent la foi, l’ignorance aussi par peur de l’inconnu, prédomine sur un besoin de chercher à comprendre. Or, si Jésus annonçant à l’avance sa résurrection est apparu trois jours et demi après sa mort, c’est qu’il dut bien y avoir dans sa détermination une intention de révéler ce que l’on ne veut justement pas connaître. Or, cela permettrait un début de compréhension. Car bien évidemment la réelle portée de la résurrection ne se limite sans doute pas à ce premier stade, ou passage d’un plan visible à un plan invisible.
A notre époque matérialiste, ce qui se passe après la mort ne semble pas préoccuper à première vue. La croyance dans la résurrection serait considérée comme une utopie dans laquelle se fonde l’espérance du chrétien qui sans vraiment comprendre, (d’ailleurs qui le peut), admet possible qu’après la vie, il ressuscitera selon la Promesse de Jésus dans un monde exempt de souffrances où la vie est Éternelle. C’est à souhaiter.
Or, au regard d’un matérialisme grandissant qui anime et cloisonne le mental collectif, le conditionnant toujours plus pour ne voir que le visible, une contradiction s’ensuit. En effet, si il n’y avait aucun intérêt de penser à une continuité de la vie, ou à un autre mode d’existence intervenant après avoir trépassé, pourquoi dépenser autant d’argent dans des fournitures mortuaires à l’intention du cher disparu puisque tout s’arrêterait en mourant et que rien ni même un souvenir ne subsisterait ? Autre exemple : Combien on déjà été consulter un soit disant voyant, (rares sont les vrais), ou ont participé à une séance de spiritisme ? Car exceptée la curiosité chez certains et un besoin de savoir chez d’autres, il en demeure pas moins un sentiment qui porte à croire que la mort ne serait pas une finalité en soi. C’est pour une part ce que le Christ à cherché à prouver en apparaissant sous une forme informelle.
Mais on ne veut pas le comprendre ainsi. On pourrait préférer la médiumnité ou moyen permettant d’établir des contacts, (sous réserve), avec l’esprit de personnes décédées pour envisager une vie après la mort ? Mais pour ce qui est du rendu visible du corps de Jésus après sa résurrection, pouvant parler et rompre le pain même, là ça laisse totalement indifférent ou presque. On tente d’expliquer dans ces pages, l’âme, le corps astral, l’Esprit, le double éthérique, la mandorle. Et quoi encore ? Qu’on se rassure, chacun ne traînera pas tout cet attirail dans l’au-delà.
En fait, il y a une partie éthérée entourant l’être incarné située d’une part, proche du cerveau, et d’autre part, en liaison avec la colonne vertébrale et le bas de celle ci. Le tout est essentiellement fluidique et vibratoire. C’est cet ensemble qui formerait la totalité de l’Aura ou du corps astral si l’on préfère. C’est également cette auréole qui entourait totalement le corps du Christ en gloire. Et après la mort, ça ne serait plus identifiable, même par ceux qui purent l’observer parce que ça ne sera pas extérieur à soi. Ce sera un état réel fusionnant, (impossible à décrire). Il n’y aura pas de séparation. On fera un. C’est dans cet état qu’il sera difficile de savoir ce qu’on est devenu. C’est pourquoi sans chercher à influencer quiconque, l’exemple du Christ serait un repère. Lui su ce qu’Il devint durant cette étape si bien qu’Il témoigna à l’Humanité, à ses proches, dont à des femmes les premières que la vie continue (différemment).
Nous dirigeons le chercheur vers l’ouvrage de Raymond Moody.. L’un des témoignages qui n’est pas une NDE est devenu significatif des premières étapes de la résurrection de Jésus : le corps divin. Un sujet qui devrait intéresser. L’interprétation est unique ne se retrouvant nulle part ailleurs. Mais précisons ceci : Tout les personnages dont on peut parler dans ce livre font relation de leur état personnel et témoignent en fonction de leurs sensations propres. Alors que le Christ après sa sortie du tombeau a une pré-connaissance divine qu’Il rejoint progressivement. Et il en a également une imprégnation. C’est pourquoi il est invisible sur le plan physique comme nous allons l’expliquer dans ces pages. La résurrection du Christ vue sous un angle astral apporterait un complément. Mais rien ne peut être affirmé. C’est une projection avant tout. Non sectaire car ce processus pourrait très bien se révéler plus ou moins identique après la vie tout en différant selon les croyances et les convictions propres de chacun. Qui le sait ?
Mais on ne cherche à influencer personne. De plus, et c’est utile de le préciser, que l’on voit ou pas ce corps non terrestre, selon Saint-Paul, c’est un corps spirituel ou encore un corps Glorieux. D’autres l’ont nommé autrement. Qu’on le voit ou non cela n’a aucune importance. La seule chose qui ait de l’importance, c’est la manière dont chacun régit sa vie et à l’égard d’autrui son Prochain. – Car en supposant qu’il subsiste une « mémoire » ? Celle ci comprendrait peut être la somme du vécu terrestre propre est individuel. Mais on devra assumer ses actes. Tous. Comme les remarques qui sont formulées sur l’Église qui demeure cependant encore à notre époque la représentante de Jésus sur la terre et de la tradition du christianisme. Elle est également un Intermédiaire dans la Foi dans le Christ entre les cieux et la terre. Guidant les fidèles vers la lumière du Seigneur celui qui vint s’incarner sur la terre en « Promettant la vie Éternelle » à qui voudrait croire en Lui. « Au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit ». A partir de là, c’est déjà beaucoup. Pour tous ceux qui ne souhaiteraient pas approfondir, là est l’essentiel.
La Résurrection du Christ est une révélation
Lorsque les Pères de l’Église catholique affirment que la résurrection du Christ apporterait la vie éternelle selon « Sa Promesse », c’est que le courant de foi relèverait peut être plus d’une croyance ancestrale plutôt que d’une réalité objective. Donc tout à fait possible et envisageable ?
De même, l’Église affirme la résurrection des corps des morts, ce qui demeure en toute objectivité tout à fait impossible. Cela pourrait confirmer que la croyance prédominerait sur la Foi ? Si maintenant on avançait l’idée que la résurrection de Jésus comme la résurrection des morts ne ressuscitaient nullement la chair ? l’Eglise ne considérerait-elle pas ces propos hérétiques comme du temps des premiers Conciles ?
Or la Foi ne sous entend pas l’ignorance ? Alors pourquoi demeurer limité par une absence d’élévation mentale faisant grandement défaut à l’Église qui de toute évidence ne peut nullement expliquer la résurrection qu’à travers sa propre croyance et sa Foi qui la meut ? Il y a pourtant dans les Évangiles et dans les Actes des Apôtres suffisamment de textes explicatifs permettant l’éclosion d’autres idées sur la résurrection de Jésus ?
Par exemple l’Évangile selon Saint Jean, le soir de la résurrection Jésus apparût à ses disciples dans une pièce close puisqu’il est précisé : « Les portes étaient fermées » ! Et il leur dit : « La Paix soit avec vous » ! Or dans cette manifestation un corps de chair n’aurait jamais pu passer au travers de murs ! C’est donc regrettable que les représentants de l’Eglise ne s’attardent pas outre mesure sur ce genre de fait insolite et révélateur en même temps ? Excepté pour entretenir un mystère dont seul Dieu permis cette prouesse !
Pourquoi demeurer naïf sous couvert de l’Eglise faisant autorité dans ce qu’Elle juge recevable de ce qui ne l’est pas ? L’enseignement du Christ « EST », pour les siècles des siècles une voie ÉVOLUTIVE .. Afin qu’une prise de conscience point dans les mentalités humaines pour que progressivement puisse devenir concevable que la résurrection du Christ s’est manifestée dans un corps non physique non terrestre mais dans un corps fluidique, éthéré ou astral. Et c’est justement ce que contient l'aura de l'être humain.
La résurrection participerait bien de la croyance et de la Foi. Cependant elle dépend également d’un processus qui lui est propre et qui se contient dans l’aura du double éthérique. C’est une réalité. La résurrection n’est pas une abstraction. Elle n’est pas une utopie. Elle aura une vraie réalité lorsque le seuil de la mort sera franchi. Les apparitions du Christ ressuscité toutes en témoignent pour nous. Afin qu’il puisse être reconnu que si il y a un plan visible et matériel (tel que nous le connaissons) c’est qu’il y a aussi un plan invisible et inconnu du vivant généralement.
--- Réflexion personnelle : Bien sure dans une perspective de survivre à sa propre mort en esprit, il demeure quelque chose d’inquiétant du fait que l’idée d’une continuité de la vie est plus ou moins inconcevable pendant qu’on est vivant physiquement. Mais dans l’au-delà, il se pourrait que la manière d’avoir conscience diffère du libre arbitre et du mode de pensées habituel. Peut être que si la conscience perdure ou se recouvre plus tard « elle » permettrait justement : un éveil dans le nouvel état, présent à ce moment là. C’est difficile d’émettre des hypothèses du fait aussi que ça pourrait varier d’un individu à un autre. Ce qui est plus sure c’est que ce changement d’état d’existence procèdera pour tous qu’on veuille ou non l’admettre. En simple : « On ne nous demandera pas notre avis ». On pourrait supposer également que cet état, d’une certaine manière, se rapprocherait de l’état de rêve. Dans le sens que la conscience ne permet pas de prendre conscience que l’on rêve tout en ayant sa part d’activité pour voir, entendre, ressentir, etc.. Et faire agir ? Car dans un rêve ne sommes nous pas davantage entraîné par le courant des scènes elles mêmes plutôt que par son propre libre arbitre ? Par analogie peut être suffirait il d’un éveil pour qu’il y ait reconnaissance de l’état présent, pour agir consciemment dans le rêve lui même ? Et pour stimuler cet éveil peut être suffirait il d’y penser dès maintenant ? — N’engageant que l’auteur. —
L’enseignement de Jésus-Christ comprend tout un ensemble. Il débute avant sa naissance, il s’instaure durant son parcours terrestre et après son Passage par la mort sur la croix, il s’ensuit une nouvelle naissance sous une autre apparence. Un corps informel. C’est le Christ ressuscité d’entre les morts ! Sans doute ne sera t’il pas possible d’apparaître physiquement à son entourage à ses proches, comme le Christ l’a fait. Mais sa réalisation permettrait d’éveiller la conscience déjà durant la vie terrestre et l’animation de cette conscience ne se perdrait pas. Le corps astral la relayerait. Bien évidemment le corps astral est une appellation avant tout. Il serait très difficile de parvenir à le décrire précisément. Il serait d’une part le réceptacle d’un principe conscient subsistant au-delà de la matière, ce qui dépasse physiquement l’homme. Et d’autre part, il est ce qui suit depuis l’origine et ce qui sera dans l’avenir.. Comprenant d’autres étapes d’existences non terrestres. Comme le Passage est l’une d’entre elles. Dans l’au-delà, le corps astral serait un véhicule fluidique de l’esprit qui ne meurt pas. L’important serait que le souvenir ou la conscience puisse ne pas se dissiper. C’est pourquoi la voie que le Christ a ouvert (d’autres voies existent) étant passé par la mort aiderait tous ceux qui voudraient croire en Lui de leur vivant ! Mais également lors du franchissement du seuil de la mort ou changement d’état d’existence.
C’est une sorte de marque distincte, un point de repère dans la Foi, et qui faciliterait une prise de conscience d’un nouvel état (sans plus de corps physique). C’est utile à savoir. Car dans une « Bonne Intention » en enseignant la résurrection, l’Eglise en parle comme d’un capital garanti à l’avance. Sans ne rien expliquer des prémices de la mort, ni avant, ni pendant ni après, l’esprit du défunt cheminerait directement dans la lumière du Seigneur et ressusciterai selon Sa Promesse dans un Monde où la vie est Eternelle. Succinctement c’est à peu près de cet ordre. Et c’est souhaitable en effet.
Or, aux portes de la mort, l’esprit du défunt devra d’abord « se familiariser » en quelque sorte à ce nouvel état ambiant appelé : « Au-delà » ? Durant cette étape, progressivement il perdra l’opacité de sa matière, son corps se fluidifiera. Selon les individus, il y aura un temps d’attente, avant que la conscience ne puisse surgir à l’état aurique. La messe accompagnant le mourant est très indiquée. Et il ne faut pas avoir honte de demander à l’Eglise. En effet la mort à notre époque est occultée. Jean Ziegler l’a bien précisé dans : « Les vivants et la mort ». Ainsi ce serait une nouvelle naissance en quelque sorte qui demanderait un temps d’adaptation avant qu’il ne soit vraiment possible d’interagir dans l’état aurique (qui sera sien) sur un plan astral dans un premier temps, puis divin.. Le Christ l’a prouvé : On ne meurt pas !
Il y aurait matières et manières d’orienter d’autres idées pour entrevoir d’autres réalités si on souhaitait réellement approfondir les différentes étapes de la résurrection de Jésus Christ. Celles ci ne demeurant pas uniquement liées à sa réalisation personnelle. Il n’a pas enduré et parfait tout cela exclusivement pour lui même ? Son enseignement ne se limite pas au fait qu’Il a eu pour mission de racheter le Péché du Monde ! D’ailleurs la Rédemption qu’apporte le Christ n’est pas faite pour tous les Hommes !
Le corps dans lequel Jésus est apparût après sa mort, l’être humain incarné le revêt aussi. Il est vibratoire, aurique et fluidique. Il y a identité dans l’incarnation de l’être. Il y a identité aussi durant le passage de la mort à une autre forme de vie. Et il y a une troisième identité dans la résurrection. Partie échappant complètement à l’entendement puisque inaccessible. Du fait aussi que le Christ n’est pas revenu une seconde fois. Il n’y a pas de traces sur terre là. Mais uniquement à partir de l’au-delà. De ce fait la voie christique serait bien un chemin de foi, se poursuivant après la vie, pour rejoindre (dans un corps non fait de chair) le Seigneur !
Cet autre corps fait de chair astrale n’est bien entendu non reçu par l’Eglise. Elle atteste pourtant bien dans sa mission de la résurrection de Jésus. Mais Elle ne parvient pas, ne serait ce qu’à l’imaginer ? C’est normal il lui manque un support. Tout dans son enseignement et pour cette partie principalement demeure entouré de mystères qu’aucun profane malheureusement ne saurait en saisir le sens juste. Car cela relève seulement de la Puissance de Dieu le Père dans les Cieux !
Il va de soit qu’avec un tel déterminisme dans sa façon d’enseigner peu de catholiques même sans vraiment comprendre se soumettent à l'autorité des représentants de la tradition du christianisme, plutôt que de soulever des idées contraires aux réglementées. Qui sait si Dieu ne porterait pas grief au croyant de peu de foi !
Jésus
L’Histoire authentifie la naissance de Jésus en l’an - 5 ou - 7 de l’ère des Poissons il y a environ 2000 ans. Mais elle ne dit pas précisément qui était Jésus ni pourquoi il vint s’incarner sur le plan terrestre ? Les preuves irréfutables de cet avènement : Six cent ans avant Jésus Christ, Esaïe un prophète avait annoncé la venue d’un Messie : « C’est pourquoi le Seigneur lui-même vous donnera un signe. Voici la vierge deviendra enceinte, elle enfantera un fils et elle lui donnera le nom d’Emmanuel » : Esaïe. 7. 14.
Que le père de Jésus soit terrestre, cela paraît évident, de même que Marie sa maman. Mais on se demande ce que l’Église à voulue retenir du sens de l’immaculée conception. Exceptée l’absence du « Péché Originel » qu’elle prononce, s’est elle attachée à l’image plutôt qu’à la réalité ? Est-ce le mystère de l’Esprit Saint qui a fait enfanter Marie ? Ou normalement, l’apport de Joseph* ? Ce qui n’exclut pas que l’Esprit Saint se soit manifesté à Marie qui en eu conscience progressivement.
N’oublions pas, que l’esprit qui n’est pas l’intellect, descend dans le fœtus de la femme enceinte, 222 jours avant la naissance. Muni de cette donnée, il resterait à savoir, si ce temps correspondrait à des périodes prédominantes, durant lesquelles Marie fut avertie par le Saint-Esprit, du divin enfant qu’elle allait faire venir au monde ? L’Evangile de Jacques, mentionne que Joseph était âgé de 70 ans, sinon plus, lorsqu’il fut choisi par l’Éternel pour devenir le protecteur, et non le géniteur de Marie, la Future Mère de Jésus. Alors ? C’est un mystère, élucidé toutefois par les « grands penseurs », quelques soient les époques.
Essayons de préciser la date de naissance de Jésus. Le pape Benoît XVI remettrait en question cette date justement. Si l’on se fit au calendrier romain, celui-ci l’établit en l’an 749. Mais non si l’on se réfère au calendrier des évangélistes, en comptant les années à partir de l’an zéro de l’ère des Poissons. Cette ère fut le symbole et le support de Jésus. En effet, sa naissance s’en trouve précisée par l’entrée du point vernal se déplaçant de un degré tous les 72 ans sur le zodiaque des constellations servant de base chronologique, ne pas le confondre avec le zodiaque des signes. Jésus serait né en l’an moins cinq. Mais chacun est libre de le contester.
De notre point de vue, les Évangiles sont incomplets, par exemple l’Ascension du Christ, quarante jours après la résurrection, c’est tout. Du début, il y a des vides de plusieurs années, entre la naissance de Jésus, la fuite en Egypte et l’âge de ses douze ans, où on le découvre au temple. Puis Evangile Saint Luc, 3. 23. 28. Généalogie de Jésus (peu fiable), rapporte que Jésus avait environ trente ans lors de ses débuts. Durant cette seconde période de 18 ans, qu’a-t’il fait ? Aucun texte du Nouveau Testament n’en parle. Saint Matthieu ne précise pas l’âge de Jésus. Mais après la déportation de Babylone, nous découvrons le nom de : « Zorobabel » issu de la religion du Zoroastre. La religion de Mithra.
A notre avis, qui pourra être contredit. Jésus aurait commencé à prêcher à l’âge de 35, 36 ans. Ce fut les débuts, les premiers disciples. Saint Matthieu : 4, 12. 25. Pour que s’accomplit ce qui avait été dit par le prophète Isaïe : « Terre de Zabulon et terre de Nephtali, route de la mer, pays au delà du Jourdain. Galilée des païens… ». A partir de là, on prête à Jésus un itinéraire très diversifié et des plus surprenants ! Un article publié vers la fin du siècle dernier annonçait que le Christ serait allé au Japon et que ce serait un de ses frères qui aurait été crucifié à sa place. Il ne faut pas s’étonner qu’il y ait en cette époque, comme Hades le mentionne dans l’un de ses ouvrages, des diffamations de l’antéchrist. Jésus aurait donc voyagé et aurait même été en Inde. C’est possible. Mais là où peu le préconise comme ici sans prétention. Une fois revenu, il aurait été en Égypte dans une famille. La sienne peut être où il retrouva les traces d’une tradition égyptienne. Cette hypothèse voir cette déduction est à mettre en relation avec le massacre d’Hérode. D’où la fuite de la Sainte Famille emportant l’enfant Jésus en Égypte.
Succinctement jetons un coup d’œil sur les parents de Jésus. Joseph, son père terrestre était de la lignée de David (Généalogie de Jésus). Mais concernant Marie, sa mère terrestre, il serait à penser qu’elle avait des origines Égyptiennes malgré que rien ne le prouve malheureusement. Les seuls indices permettant d’étayer cette supposition se retrouvent dans les enseignements de Jésus. On y découvre bien plus d’affinité avec une tradition Égyptienne qu’avec une tradition Essénienne. Il y a vraiment là une séparation, mais qui n’a pas été remarquée des historiens, des chercheurs, des écrivains actuels également comme : Frédéric Lenoir. Anecdote en passant : « Pourrait-on voir dans le noir » ? Une récente vidéo le prouve : Qui était Jésus ? l’ombre d’un doute. On a pas l’habitude de s’appesantir sur ceux qui contribuent à objecter la messianité de Jésus. Ou encore, déviant le sens, à sous estimer, des événements clés de son parcours terrestre pour en démontrer un caractère insignifiant. Mais lorsque sont émis des préjugés pouvant influencer à tort, il est utile alors de dire : C’est un savant reportage, instructif. Mais (re) voilant plus, qu’il n’éclaire, les points essentiels de la vie de Jésus. L’ensemble conjugué à une volonté de vouloir rendre impersonnels des actes pourtant jadis accomplis. Comme les miracles*. Par exemple, pour l’eau changée en vin, Gérald Messadié, simpliste, a trouvé la solution. Alors, qu’une telle réalisation, relève réellement de la nature divine de Jésus. Et non d’une illusion, reconnue comme un prodige par ceux qui crurent de son temps. Et qui croient en Lui, aujourd'hui encore. * Indice mystérieux et inexplicable, surtout quand le lieu ne s’y prête pas, il est souvent mentionné qu’il y a de « l’herbe verte.. » : Support indispensable pour la multiplication de pains et de poissons ? Tandis que certains alchimistes d’antan sauraient expliquer.. Les détracteurs ont de quoi argumenter.
En effet, beaucoup remettent en cause le courant initiatique du baptême. On émet l’hypothèse : Jésus avait peut être connu Jean le baptiste chez les Esséniens, car on prétend retrouver dans son enseignement, des semblants, ainsi que la Rédemption et le Salut par le baptême, ce que prêchait J.B. C’est vrai, il y a des points communs qui pourraient faire penser que Jésus s’était inspiré de certaines idées. Mais ce que ne savent peut être pas, les archéologues en général, ni les déformateurs.. Car, (avis personnel), l’érudition pouvant être une prédisposition, n’est somme toute, qu’un bagage intellectuel qui s’acquiert et s’accroît au fil du temps. Cet apport permet peut-être à l’historien, au philosophe, à l’écrivain d’exceller par ses travaux, mais ça ne lui ouvre pas pour autant l’esprit, si ce dernier demeure limité et cartésien. Il pourrait demeurer hermétique à des domaines plus subtils qui lui échappent totalement même si il est un excellent divulgateur. Certes, certains se distinguent par leur culture dans les salons, pour débattre de faits tout relatifs, mais au risque aussi de transformer littérairement parlant, d’autres réalités. Sans savoir. « l’Esprit souffle où il veut ».
Que Jésus se soit laissé baptisé par Jean-Baptiste, c’était pour accepter un rite transmis par Jean-Baptiste. C’est aussi simple que cela à comprendre. Mais c’était aussi pour apporter à Jean-Baptiste la notion du baptême dans l’Esprit saint. D’ailleurs, plus tard il l’imagera semblable à une colombe tant cette manifestation d’une blancheur éclatante, mais non terrestre, lui parut correspondre. De plus l’oiseau traduit cette liaison entre le ciel et la terre. C’est en effet, Jésus qui s’est soumit au baptême de Jean-Baptiste. Mais ils y avaient probablement le même courant d’initiation, car il y avait venant de Phrygie, passé la Perse, la religion de Mithra, (prochain sujet), bien antérieure aux esséniens. Et plus encore aux légions romaines qui l’adoptèrent par la suite. Les adeptes croyaient à la rédemption et ils acceptaient le baptême.
Un dernier regard, sur ces érudits documentalistes, écrivains, versés dans la spiritualité.. Avisés pour compiler des bases de données enrichissantes, c’est à reconnaître. Mais témoignant d’un manque d’ouverture manifeste, pour être demeurés hermétiques à tant de preuves singulières et révélatrices. En synthèse de ce reportage, suivi d’un débat présentant les auteurs, dont celui mentionné ci dessus, il n’est pas question d’un : « événement-unique-jésus » (comme on le concevrait personnellement). Mais d’un : « mythe-construction-jésus » ayant marqué l’Histoire ; de leur point de vue. De cette manière, l’intelligence privilégie l’ignorance. Imperméables sont ils, à la descente de l’Esprit Saint, J. Baptiste pu le comparer à une colombe. Significatif pourtant. Mais pas pour eux, ne voyant là, qu’une histoire à « dormir debout » !
Pourtant l’image de la colombe définie par Jean-Baptiste demeure une belle et subjective représentation de l’Esprit Saint. Son élévation dans les airs ainsi que sa descente s’effectuant le plus souvent à la vertical, dut faire idéaliser la pensée de Jean-Baptiste pour témoigner en ce sens : « J’ai vu l’Esprit Saint descendre du ciel comme une colombe, et il demeure sur lui. Et moi je ne le connaissais pas. Mais celui qui m’avait envoyé baptiser dans l’eau, celui-là m’avait dit : Celui sur qui tu verras l’Esprit Saint descendre et demeurer, c’est lui qui baptise dans l’Esprit Saint. Et j’ai vu de mes yeux, et j’atteste que c’est lui le Fils de Dieu ».
C’est donc que l’image de la colombe et de l’Esprit Saint demeure identique et qu’elle a apportée une transposition christique à la connaissance issue de la religion de Mithra, ou comme le pense Frédéric Lenoir, et par ailleurs : Armand Abecassis et d’autres, de la tradition Essénienne et antérieurement Qumrânienne.
Poursuivons .. Jésus abolit diverses lois établies depuis Moïse. Il parle aux femmes et les laisse s’exprimer. De même la tradition Égyptienne vénérait la femme. Elle avait sa place dans les temples et officiait également. La tradition juive la tolère mais en lui accordant un rôle des plus passifs. Jésus accomplit ses œuvres, même durant les jours de Sabbat. Ses agissements révoltent les docteurs de la loi qui désormais chercheront à le faire mourir. Les termes docteurs, Scribes sont propres à l’époque. C’est ainsi que l’on nommait les détenteurs de la Loi. Jésus apporte un onzième commandement. Évangile selon Saint Matthieu : 22.« Tu aimeras ton proche comme toi même ».
Autre indice, à cette époque les religions étant très diversifiées, Jésus pu procéder par regroupement à en arriver à une synthèse, qui lui permis de rejeter bien des lois anciennes de la tradition hébraïque. Sur une nouvelle base, il fit cheminer son enseignement qui ne manqua pas de scandaliser les docteurs de la loi. Evangile selon Saint Matthieu : 5, 17. 48. La Loi ancienne et la Loi nouvelle : « N’allez pas croire que je sois venu abroger la Loi des Prophètes : je ne suis pas venu abroger mais parfaire ». Parfaire signifie bien. Compléter. Mener à son terme.
Réfléchissons. Si Jésus avait confirmé la Loi sa mission divine sur terre n’aurait eue aucun sens. De plus elle n’aurait apportée aucune évolution à l’humanité dans les consciences individuelles. Rien qu’à un niveau culturel dans leurs formes. Comme tout ces anciens « sacrifices » au nom de l’Eternel ! Réalisons le grand pas effectué. Grâce à Jésus. Nous ne réfléchissons pas à tout cela. Il est à reconnaître que la totalité du peuple juif d’origine hébraïque n’a pas reconnu en Jésus, le Messie. Puisqu’ils l’ont livré pour qu’il soit tué. - Le mot Christ vient de Khristos voulant dire en grec : Messie. Et Meshiah en hébreu veut dire : l’oint de Dieu. Ce n’est que plus tard que l’on associa les noms de Jésus et du Christ. - Seuls quelques prophètes : (voir Jérémie et Daniel), en Israël annoncèrent une naissance peu commune, dont Isaïe : 7, 14. Le signe De l’Emmanuel. C’est pourquoi le Seigneur lui même vous donnera un signe. Voici que la Vierge a conçu, et elle enfante un fils, et elle lui donne le nom d’Emmanuel. - Annotation de la Bible concernant l’Emmanuel d’Isaïe. 7, 14. La Vierge. Saint Matthieu, 1, 23. et à sa suite, toute la tradition catholique entendent par la Vierge, la Vierge Marie. Et par Emmanuel : Immanou El. 8, 8, 10. 9, 5, le verbe incarné. le Fils de Dieu fait homme, véritablement Dieu avec nous : Comp. Mic. 5, 1. 5. - Il y a aussi les prédictions de ceux qui ont accueillis la Vierge à Bethléem et non à Nazareth. En effet à cette période pour des raisons de recensement décrété par Quirinius gouverneur de Syrie. Marie qui était enceinte partie avec Joseph en Judée. Ainsi Jésus vint au monde dans une crèche, une étable parce qu’il n’y avait pas de place pour eux dans l’hôtellerie. Certains Grands Prêtres également l’ont reconnu lors du rituel de la circoncision puisque Joseph était issu de la lignée de David et lors des cérémonies propres à la naissance. Mais ces Grands Prêtres n’ont pas pratiqués ces rituels en faisant référence à une religion mais plutôt rapport à une vision personnelle du fait qu’ils avaient prophétisés la venue au monde d’un divin enfant.
La Bible est le livre le plus vendu au monde. Mais l’avons-nous bien lus ? Dans les Quatre Évangiles d’un point de vue enseignement et du culte qu’Il instaure, Jésus apparaît être un innovateur qui dérange, c’est l’avis des docteurs de la Loi. Des Grands Prêtres hébraïques juifs de l’époque qui le contestent depuis le début. De plus ils démentent que ce Jésus, puisse être le Prophète « Elie » qu’ils attendaient car rien dans son enseignement n’en prouve la continuité. Or, ce Jésus révèle qu’Elie s’est déjà manifesté par Jean Baptiste. Saint Mathieu : 11, 14. et 15. Le retour d’Elie. « Et si vous voulez le comprendre. C’est lui l’Elie qui devait venir. Que celui qui a des oreilles entende » !
Dans le verset de cet Évangile, Jésus parle de Jean Baptiste, c’est lui l’Elie qui devait venir. Il est question ici de réincarnation. La réincarnation d’Elie en Jean Baptiste. Saint Mathieu : 17. 10. 13. Le retour d’Elie. Le verset est explicite. Mais d’autres textes comprennent également l’idée de la réincarnation comme dans l’Évangile selon Saint Jean : 8 controverse à Jérusalem entre les Juifs et Jésus, qui déclare être la lumière du monde et le Fils de Dieu : 8, 56. 58 : « Abraham, votre père a tressailli de joie à la pensée de voir mon jour ; il l’a vu et s ‘en ait réjoui ». Sur quoi les juifs lui dirent : tu n’as pas encore cinquante ans et tu as vu Abraham ? Jésus leur dit : « En vérité, en Vérité, je vous le dis. avant qu’Abraham ne fut, moi je suis ».
– Mais il apparaît clair tout au long des Évangiles que Jésus n’a pas eut pour mission d’enseigner la réincarnation mais bien celle d’ouvrir une nouvelle voie. L’accession à un royaume dans les cieux. Par la résurrection. Serait ce ici que prendrait un sens cette phrase énigmatique ? Évangile selon Saint Jean. 14, 2. « Dans la maison de mon Père il y a des demeures en grand nombre ».
Il est bien difficile d’expliquer cette phrase. Mais il est possible que le Christ ait sans doute voulu parler des différents états de béatifications auxquels on peut accéder. Car à un moment donné il ne serait plus question de réincarnation ayant atteint le sommet désiré correspondant à l’une ou l’autre des maisons, demeures ou appartements, (selon les traductions).
- Mais on pourrait penser que nous n’aurons pas accès, ne serait-ce qu’à l’une de ces maisons tant que nous ne l’aurons pas gagnée dès maintenant. Non en projection dans un avenir lointain mais à compter d’ici et maintenant par tous nos agissements et envers notre prochain. Mais une fois ce point atteint on ne pourra plus redescendre. Ces demeures correspondraient-elles aux neuf stades ? 9 étapes ? Neuf seuils ou plans que l’âme doit franchir avant son retour en un monde Originel ? Dieu seul le sait. Qui était Jésus ?
La Religion Mithra
On aurait tort de croire que Jésus ait pu être le fondateur de la tradition du christianisme. Un « Fil(s) » conducteur innovateur plus sûrement d’une religion à laquelle on ne pense pas : La religion de Mithra.
A l’origine, selon les directives du Christ, les Apôtres ont propagé ses préceptes. Son enseignement transmis au fur et à mesure, allait former par la suite une nouvelle religion. - Pour aller au plus court.
Mais il est à reconnaître que les croyants en général, sous l’influence des premières Églises naissantes jusqu'à nos jours, n’ont jamais cherché à savoir. Pour eux comme pour beaucoup d'autres, tout débute à compter de Jésus, un point c’est tout. C’est une manière de voir mais elle n’est pas exacte. De plus, quelle fut la raison de l’incarnation de Jésus ? S’est-on posé la question ?
Jésus vint s’incarner sur le plan terrestre en l’an moins 5 ou moins 7 de l’ère des Poissons, pour répondre à un appel peut être. Oui c’est une possibilité. Reprenons du début si vous le voulez bien.
Qui a révélé, manifesté, Personnifié la Sainte-Trinité en un Père, Fils et Saint-Esprit ? A cette question unanimement nous répondrions, c’est Jésus. Certes il y a du vrai. Mais ce n’est pas tout à fait exact.
Expliquons-nous. Jésus incarné est venu pour répondre à des appels. Ces souhaits ou formulations se sont opérés au fur et à mesure des siècles, dans l’esprit cultuel de certains peuples, et de certaines sectes. Les cérémonies, les rituels, subirent eux aussi une transformation, pouvant ainsi dans leurs expressions, attirer à elles ce qu’elles étaient justement parvenue à créer, en archétypes. Nous avons parlé d’un monde métapsychique de la pensée au sujet les chrétiens et la sexualité. Ainsi que ce soit en bien ou en mal, ce sont les courants de pensées conjugués qui créent des archétypes.
De cette manière, surviendrait peut-être « Un Envoyé ». Un être consciemment incarné ou prédisposé à le devenir durant une courte existence terrestre. Avec pour mission d’instaurer un renouveau spirituel au sein de l’humanité. Transformant les rituels anciens, les sacrifices de sang, les offrandes aux dieux et aux démons.
Par qui ces appels ont ils été exprimés pour qu’un jour « Un Sauveur » vienne y répondre ?
Il y a dans les Manuscrits de la Mer Morte des éléments qui témoigneraient d’un pré-christianisme. Voyons d’un peu plus près. Lorsque cette découverte eu lieu, un ravage s’est effectué sur ces écrits, puisqu’il a fallu dès le départ les transcrire. On peut supposer qu’une partie de ces écrits aient été détournés, mais c’est peu probable. Or il y avait aussi des juifs chargés de la traduction. Il a donc été erroné de dire, que des antisémites étaient présents. Ce n’est pas évident en tout cas.
Le Vatican aurait prélevé 20% de ces manuscrits, c’est exact. Mais il en a été suffisamment laissé à la traduction, pour que celle-ci ait pu en extraire d’autres théories différentes. Depuis les savants ont beaucoup discuté de leurs narrations. Et plusieurs thèses ont été étayées. On a prétendu que cela pouvait être un pré-christianisme. De ce fait ça éliminait le messianisme de Jésus-Christ ? Par ailleurs on a pensé que ceux qui ont succédés aux Maccabées, ont préparé de très loin l’avènement du Christianisme.
Cette affirmation d’un pré-christianisme pour certains, hypothèse pour d’autres, a pu être une réalité. Nous ne rejetons pas cette possibilité. Bien que nos raisons sont différentes, de ceux qui proclament ce genres de certitudes, pour réfuter une seconde fois, avec quelque deux mille ans de plus, celui qui devint un Christ ressuscité. Quand bien même le christianisme actuel depuis les apôtres, ne relèverait ni de ces derniers ni directement de Jésus, cela n’enlève rien à l'apport divin dans l’incarnation du Christ.
Précisons un peu les Manuscrits de la Mer Morte. Ces manuscrits ont subi diverses tractations. De plus il y a eut tellement de mouvements d’idéologies variées, soit des prophètes soi des sectes, groupements plus ou moins philosophiques qui existaient déjà à cette époque, qu’ils s’ensuivit assez naturellement une considérable divergence d’idées. D’ailleurs aujourd'hui il s’avère bien difficile de reconnaître les auteurs qui sont dans la vérité, de ceux qui sont dans l’anathème.
La situation qui se présenta lors de la destruction du premier temple de Jérusalem n’a pas été sans conséquences. Par la suite bien des rivalités s’échangèrent sûrement, entre différentes sectes, dont celles qui ont soulevées le plus de polémiques jusqu’à nos jours, les Esséniens.
En effet, ce fut une secte qui s’apparenta dans sa forme au christianisme qui allait naître par la suite. Elle était suffisamment ésotérique et hermétique pour former une idéologie qui sut se transmettre en bases morales. Philosophiques et spirituelles. Cependant l’ Evangile ne l’a pas obligatoirement inclue dans les théories qui annonçaient la venue du Christ et c’est regrettable. Cela nous aurait aidé à comprendre.
Par exemple, si la loi contenue dans l’Ancien testament avait été parfaite, il n’y aurait pas eu nécessité, à ce que les prophètes hébreux annoncent un messie. Puisque comme déjà précisé ailleurs. Sept siècles avant Jésus-Christ nous retrouvons Isaïe. (8, 23). Le Prince à venir « Mais il n’y a plus de ténèbres, pour la terre qui a été dans l’angoisse. Dans le passé, il a avili le pays de Zabulon et le pays de Nephtali dans l’avenir il exaltera le chemin de la mer l’au-delà du Jourdain le district des nations ».
Même Kheops par la pyramide solaire a laissé présager l’avènement pour une période assez bien déterminée, l’an zéro ou moins cinq de l’ère des Poissons. Libre à chacun de croire qu’un messie se serait déjà incarné du temps des Esséniens. C’est permis de le supposer en tout cas.
Qui suivra ? Suite à Jésus ou la fuite en Égypte de la Sainte Famille. A notre avis, pour que la Sainte Famille revienne en Égypte, lors du massacre des Saint-Innocents, c’est qu’il y avait une raison primordiale et sans doute familiale. Un retour vers une souche ancienne de la famille. Ou bien encore un certain déterminisme métaphysique faisant que les réalisations égyptiennes avaient dépassées les réalités humaines. C’est à dire : La révélation arrivait à son terme. Là où les Hébreux s’étaient enfuis après avoir dépouillé les Égyptiens.
Une question se pose. « L’Égypte aurait-elle été le creuset de la future voie du christianisme » ? On serait tenté de le croire. Mais on ne peut affirmer que la religion du Christ découle directement de la religion égyptienne, car la loi de Moïse, rappelons le, interdisait de scruter le ciel afin de ne pouvoir identifier : « EL » de la Bible. C’est-à-dire : DIEU.
Mais dans son essence trine : « Osiris Isis et Horus », les égyptiens fixaient déjà l’idée du ternaire fondamental qui deviendra le principe même de la religion chrétienne. En tant que : « Père Fils et Saint-Esprit ».
On pourrait penser et ce n’est pas une supposition gratuite. Après la fuite en Egypte, le Christ futur a dû subir une information, un enseignement issu de la tradition égyptienne. Avant d’avoir probablement des contacts avec les adeptes de la religion de Mithra, venant elle aussi de Perse, après avoir eut son origine en Inde avec l’Avesta, ne pas confondre avec le Védisme de l’Hindouisme : Védanta. Les adeptes de la religion de Mithra acceptaient le baptême, la Rédemption. Mais ils acceptaient également le jeûne et la flagellation.
Au temps de Jésus, la religion de Mithra se développa énormément dans l’empire romain. Le culte était solaire, et le dieu suprême pesait à la mort les âmes. Ceci se comprend également dans les textes funéraires égyptiens. De plus quand la religion se développa, environ deux siècles avant Jésus Christ, les grades d’initiation étaient au nombre de sept. Et les principaux étaient, Héliodrome, puis Père, et enfin, Père des Pères. Or, dans l’ Évangile, toutes les déductions du Christ s’appliquent au Père. N’y a-t-il pas une identité assez surprenante ? C’est une source à ne pas négliger, surtout par son culte solaire et du Taureau, se rapportant à une inspiration zodiacale. Ce que ne présentent pas les autres religions, étant moins bien adaptées aux occidentaux.
Un article remarquable, janvier 11, sur Le Post.fr complétera abondamment ces sujets : « Jésus-Christ est-il un avatar de Mithra ? »
Par ailleurs : « Zoroastre et le mazdéisme, première religion des Perses. »
La Disparition du corps de Jésus
L’absence du corps de jésus ou son invisibilité durant les différentes étapes de sa résurrection. Processus s’accomplissant lors du passage de la mort à la vie, tendant à faire rejoindre dans un autre monde tous ceux qu’on a aimés ?
On apprend que depuis des siècles les Pères de l’Église n’ont absolument rien compris du processus de la résurrection de Jésus. Excepté un récent éclaircissement sur le sujet par Benoît XVI, dans son dernier tome de mars 11. Peut-être créera t-il une résonance dans ce Troisième millénaire ?
Nouveau concept dans la résurrection ? L’être humain dans sa totalité manifeste une aura. Celle-ci n’est pas reconnue par l’Eglise alors qu’elle entoure ses saints. Son éclat plus ou moins lumineux, dépend de la somme des mérites, des fautes, du bagage mental et spirituel hérité à la naissance qui fructifie ou peu durant la vie. Cela vaut pour l'être humain croyant ou non, qu'il soit spirituel ou démoniaque, ange ou démon.
Cette aura est appelée aussi mandorle. « Maurice Guinguand qui détenait une faculté de voyance précise : cette mandorle se devine en observant une personne par voyance ». C’est bien là ce qu’on voulu représenter les imagiers en mettant des auréoles sur la tête des saints.
Ce qui suit, est une explication qui en vaut une autre, à cette seule différence, on ne la retrouve nulle part ailleurs, en tous cas, pas dans cette optique, à notre connaissance. - Après la vie physique, le double éthérique effectuera son parcours pour rejoindre cette auréole lumineuse (entourant la tête) des saints. On pourrait également la définir comme une boule lumineuse et originelle. Ainsi durant son cheminement, le corps étherique sera encore visible. Mais lorsqu’il atteindra totalement cette boule divine. Il deviendra alors INVISIBLE. Comme dans le cas du Christ. C’est pourquoi dans les cas de résurrections, comme cela se produisit pour celle de Jésus-Christ, lorsqu’il fut ressuscité. Il était invisible. Il ne demeurait guère qu’une forme pouvant se reproduire par une mémoire physique. Mais non par un état physique réel et palpable.
-La disparition du corps de Jésus est une énigme irrésolue pour deux bonnes raisons. La première : l’être humain en général croit en ce qu’on lui a apprit. Dans la plupart des cas, il ne s’écartera pas outre mesure de ce qu’il reconnaît comme correspondant avec ses idées. La seconde raison complémentaire de la première, ferait qu’en fonction de cette limitation individuelle, à laquelle s’ajouterait un matérialisme grandissant dut à l’époque, le mental collectif ne serait pas prêt à concevoir, l’existence d’un principe originel, (situé), au-delà de la matière. Un monde non limité par les quatre éléments, produisant sur la terre : La naissance. La croissance. La décrépitude. La mort. Et pourtant, c’est issu d’une autre dimension que le Verbe s’est fait chair, il y a 2000 ans. Jésus venu s’incarner sur la terre, ouvrant une voie nouvelle. Par sa naissance. Par son enseignement. Par sa mort. Par sa résurrection. Pour que s’accomplisse « Sa Promesse dans l’Éternité ».
En synthèse, ce serait un peu en fonction de ces deux raisons, qu’il ne serait pas encore possible d’imaginer la disparition du corps de Jésus du Tombeau. La conscience collective demeurerait encore au même niveau que celle de Thomas pour ne croire que ce qui est visible, reconnaissable et palpable.
On pourrait sûrement argumenter que Thomas a touché les plaies du Christ comme l’histoire le précise. C’est en effet une vérité sur un autre plan. Mais cette réalité n’étant que vraisemblance sur un plan matériel a été prise à ce même degré par les Pères de l’Eglise. Voici la raison.
C’était pour prouver les moyens de son incrédulité que le Christ à fait sentir à Thomas une impression de toucher. Mais c’était réel. Mais non physique. C’est un peu difficile à comprendre. Mais on oublie aussi que Thomas a principalement « vu » ! D’autre part, n’oublions pas les miracles de jésus avant et encore après sa résurrection. C’est une preuve de plus qui confirme sa divinité.
Les manifestations du Christ ressuscité ne sont pas toutes identiques, du fait que tous ne virent pas la même chose. Nombreux indices dans les Écritures qui n’ont pas été relevés.
Cette manière de voir n’est pas encore prête d’être partagée par tous. Et encore moins par les membres de l’Eglise chrétienne. Comment faire comprendre que le corps de Jésus au Tombeau ait procédé d’une transmutation ? Ce qui provoqua la disparition du corps physique mais tout en demeurant sur un plan vibratoire ? C'est vain. Ici même en écrivant, il est difficile de se représenter un état qui dépasse totalement.
Mais il s’agit de la réalisation de Jésus, les Écritures en témoignent. Et puis, chacun interprète selon son entendement, ça ne se commande pas.
Les apparitions de Jésus
Comment expliquer à notre époque que jadis un homme du nom de Jésus de Nazareth, ait pu annoncer à l’avance sa future résurrection, accomplie après avoir franchi le seuil de la mort ? Pour ensuite transparaître physiquement parmi les vivant ?
Si on fait référence à des écrits anciens ou plus récents des Pères de l’Eglise pour aider à comprendre les apparitions de Jésus ? Il est à reconnaître que l’interrogation demeure. Prenons par exemple, Frère Jean-Michel Maldamé, 2005 : « Le corps qui a été vu par les disciples d’Emmaüs est un corps réel. Il partage la marche, il parle, il écoute » etc..
Comment comprendre le récit de Frère Jean-Michel Maldamé, ce corps de chair est le sien ?
D’une part il est reconnu que le corps de Jésus n’est plus limité par la condition spatio-temporelle, pour user de son terme, c’est à dire non contraint aux limitations du plan terrestre, et d’autre part, qu’il y a eu une métamorphose cependant, peut être dans son apparence, puisque qu’au début de l’apparition, sur le chemin d’Emmaüs, deux disciples ne le reconnurent point de suite. Et pour conclure, ce serait bien la même personne qu’avant tout en étant passé par la mort, d’où la résurrection ?
Raisonnablement cela expliquerait il les apparitions du Christ ? On retrouve semblable récit plus ou moins identiques chez nombres de représentants de la tradition du christianisme, ayant imprégné de la même contradiction les mentalités humaines. Ce n’est pas une critique mais cette manière de voir n’explique rien.
Si le Christ ressuscité a pu réapparaître après sa mort à ses disciples et devant nombreuses autres personnes, c’est qu’Il dut sans doute user d’une faculté qui échappe totalement à l’entendement humain ou à la raison humaine. Il n’y à guère une autre explication.
Quiconque meurt est mort physiquement. On ne peut être et avoir été, surtout après avoir trépassé. Il ne pourrait donc s’agire d’un corps réel comme l’entend Frère J.J. C’est autre chose.
Ce serait dans un autre corps non fait de chair que le Christ à transparu physiquement. Faisant apparaître une forme semblable à celle qui fut humaine. Il serait peut être plus probant d’envisager ainsi les apparitions de Jésus. Et cette manière de voir ou d’imaginer pourrait créer un lien, une trace qui pourrait être retrouvée plus tard. Comme durant l’étape de la résurrection peut être ? Aidé de la Foi et des propres convictions, il ne coûte rien d’essayer de se représenter un état, qui ici bas dépasse la compréhension, alors que ça pourrait prendre un sens sur un autre plan ?
Jésus ressuscité a peut être voulu volontairement prouver à l’Humanité qu’après la mort un autre mode d’existence prend le relais. C’est tout de même réconfortant ? On ne mourrait pas tous.
Le fondement de la religion catholique repose principalement sur la résurrection. Dans cette perspective, cette espérance tous les chrétiens du Monde sont animés de cette même Foi.
Sans la résurrection de Jésus, il n’y aurait pas d’issue possible pour échapper à la mort. Tous les chrétiens croient à la mort de Jésus ainsi qu’à sa résurrection, trois jours et demi après que son corps ait été déposé dans un tombeau. De même concernant la résurrection des morts, dont celle de chacun en son temps. Ainsi, la résurrection des fidèles et celle des morts seraient intiment liées ? Lors de la messe du dimanche, les chrétiens récitent le Credo confirmant ainsi leur croyance. Mais tout cela n’est pas très clair.
En effet, d’une part, il y a la résurrection de Jésus dont celle qui sera sienne lorsque le moment viendra. Pour que celle-ci puisse se réaliser, il faut mourir physiquement. En son temps bien entendu ! Et d’autre part, il y a la résurrection des morts, comme si cette dernière était à différencier de la résurrection elle même. Dont celle de Jésus ? Il y aurait donc deux résurrection ? Il y aurait peut être différentes phases ou étapes de résurrection. Mais qu’en savons nous ?
Pour tenter d’approfondir il y a les Écritures. Certaines annoncent le retour de Jésus sur la terre en établissant un lien avec la résurrection des morts. Pourquoi pas ? Or ce n’est pas du tout évident. Non pas le retour d’un Sauveur.. Mais principalement cette liaison faisant que les morts ressusciteront lors du retour de Jésus. Car dans cette éventualité que deviennent nos morts présentement ? Seraient-ils privés de la première résurrection, celle de Jésus ? Il n’est toujours pas revenu sur la terre ? A première vue cette version ne tient pas debout !
« Que ton règne vienne.. ». Que le règne du Père dans les Cieux vienne (sur la terre) ne serait en réalité qu’une métaphore dans le Pater, tendant à exprimer un règne à venir oui. Mais peut-être pas terrestre. Déjà dans la version française du Pater il y a une inversion pour ce qui est de la volonté du Père. Comparativement la version latine qui précise justement : « Que ta volonté soit faite au ciel comme sur la terre » ; « fiat voluntas tua sicut in caelo et in terra ». Le ciel en premier. Ce n’est pas du tout pareil !
Pour en revenir aux Écritures qui ont marquées bien des esprits dans les siècles passés ainsi qu’à notre époque, elles renferment toutes sortes de recommandations concernant l’Avènement du Royaume de Dieu, avec le retour du Christ. Par ailleurs, les illuminés de l’année 2012 ont eu de quoi glaner pour alimenter leur rocambolesque scénario fin de monde !
Plus sérieusement beaucoup de catholiques fondent également leur espérance dans le retour du Christ sur la terre. Même au regard d’une vie, ce qui semblerait un peu court pour qu’un tel événement puisse se produire, et si il devait avoir lieu. C’est un peu irraisonné, mais de bonne intention. Cela pour préciser qu’il semblerait y avoir un état crédule assez prononcé dans les mentalités humaines. Quand bien même les Écritures témoignent d’un retour du Christ cela ne veut pas dire que ce retour concernerait le plan terrestre ? Écritures pour Écritures dans Saint Matthieu, 19, 20 le Christ précise : « Allez donc ! De toutes les nations faites des disciples, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit leur apprenant à observer tous les commandements que je vous ai donnés. Et maintenant moi je serai avec vous toujours jusqu’à la fin du monde ».
Il y aurait donc une fin du monde un jour. Scientifiquement parlant, c’est une évidence. Tout commencement implique une fin. Le Christ ayant précisé qu’Il serait avec nous jusqu’à la fin du monde, comprend des naissances et des décès qui auront lieu avant que n’advienne une finalité. Cela pour préciser que la résurrection des morts ne repose pas sur la supposition d’un Royaume de Dieu sur la terre. Pas plus que sur un hypothétique retour du Christ.
Les Écritures ne relèvent pas toutes d’une inspiration divine, ni de faits et d’évènements tout à fait authentiques. Avant que n’arrive une finalité, la conscience humaine atteindrait collectivement son summum. Les effets engendreraient progressivement un radical changement. Toutes les fausses valeurs qui régissent le Monde s’effondreraient. Tant que cet aboutissement ne se gagnerait pas et si aucun fou n’envisagerait pas le pire avant ce terme, alors les paroles d’un Christ jadis, résonneront ! Car dans Saint Matthieu il est écrit aussi : « le ciel et la terre passeront mais mes paroles ne passeront pas » ! Du fait qu’elles seraient vérités vraies, ses paroles se retrouveraient dans tout les Temps ! Présentement, le point culminant d’un temps à venir où le monde finirait est très loin dans le temps, contrairement aux avis exaltés de petits groupes de gens, de-ci de-là.
On ne saurait passer en revue toutes les tendances tant il y en a. Mais ne serait-ce qu’au regard de la religion catholique, et autres courants déviés comme le protestantisme, les églises anglicanes, libres, réformées, etc.. La plupart, ne reconnaissent que la parole de Dieu révélée en le Christ, et annoncent ce genre d’Avènement extraordinaire ! Ou « Royaume de Dieu sur la terre ».
Cette exaltation très déconcertante, aux vues matérialistes souvent, témoigne d’une naïveté manifeste pour avoir interpréter à la lettre certains textes bibliques. Envisager à titre réducteur un monde céleste s’incorporant dans la matière, relève d’une absence élémentaire d’élévation mentale et spirituelle. Même si la foi meut ?
Dans la perspective que sur terre l’Église attendrait le retour de son époux, soit Jésus-Christ en personne, demeure très utopique. Pourtant c’est bien une des priorités compris aussi dans les églises réformées. Le tout encensé de puritanisme dans le sens d’abstinence du péché brandit en avant et dont le pieux serait reconnu et récompensé de ses mérites si il a été également baptisé. C’est un peu sectaire. En fait, l’Église qui attend son époux, c’est la Nouvelle Jérusalem Céleste, extraite de son contexte originel dans l’Apocalypse de Saint-Jean. Et d’après ses mesures architecturales, précisées en stades et en coudées, celle ci serait une Majestueuse Église, comprenant un nouveau ciel. Une nouvelle terre. L’ensemble serait de beaucoup, plus vaste que la Terre ! Une Nouvelle galaxie encore inconnue aux confins de l’Univers ? Un Monde nouveau !
Depuis bien longtemps, l’Apocalypse de Saint-Jean sert de support pour interpréter d’éminentes catastrophes à venir. Pour entretenir l’idée d’un Jugement Dernier. Et plus encore. De ce fait, il serait temps d’essayer d’y voir plus clair ! Saint-Jean précise dans son texte que l’Apocalypse n’a rien à voir au point de vue religieux ou enseignement mais qu’il s’agit uniquement de prophéties.
L’Apocalypse est une projection dans l’avenir par ce dont Saint-Jean connaissait en astronomie, et rapport à de possibles déductions chronologiques qui furent envisageables pour estimer, évaluer et pour instituer justement une forme de pensées qui se retrouvera au début de chaque millénaire. Donc aussi bien avant l’an 1000, qu’avant l’an 2000 et comme cela se produira également avant l’an 3000 ! Les prophéties de Saint-Jean se révèlent périodiquement en fonction de l’évolution des astres et des planètes, et surtout en fonction des constellations zodiacales qui mettent environ 2000 à 2150 ans pour se répéter ou se renouveler.
L’écrivain ésotériste Maurice Guinguand nous révèle un point important et méconnu concernant Saint-Jean. « Lorsque Saint-Jean écrivit son Apocalypse, il se trouvait sur l’île de Pathmos en Grèce. Là, il put rencontrer une certaine Priscilla à Pépésa qui pouvait être originaire de Phrygie (région du Nord-Ouest de l’Asie Mineure.). Elle n’a rien à voir avec les Priscilliens qui deux siècles plus tard, créèrent une secte particulière, mélangeant un christianisme et un manichéisme assez corrompus. Or, cette Priscilla possédait des dons de voyances et surtout de visions qui lui ont permis de pouvoir donner les preuves d’une certaine chrétienté, ou tout au moins, d’un certain effet mystique concernant le Christ et concernant les visions christiques aussi. Elle pu également détailler : La Nouvelle Jérusalem.
Il faut reconnaître que pour établir des notions de Nouvelle Jérusalem, il eut fallu qu’elle connaisse les écrits des prophètes hébreux, tel Ezéchiel, et qu’elle ait connaissance aussi de ce qu’écrivit Saint-Jean sur La Nouvelle Jérusalem dans son Apocalypse. C’est donc un point à éclaircir et que ne semble pas connaître les écrivains ou les auteurs qui traitent de ce sujet ».
Apportons ici une dernière précision concernant l’Apocalypse de Saint-Jean. Avant de trouver son initiation apocalyptique Saint-Jean a écrit à 7 Églises qui témoignèrent par la suite, d’une nouvelle religion qui n’existait pas encore de son temps. Elles se situaient géographiquement mais surtout célestement en correspondant à des points du ciel qui lui donnèrent des indications précises lors de ses visions qu’il développa, en écrivant son apocalypse. Ceci fut strictement régional avec pour point de mire, l’île de Pathmos et aux environs du Moyen- Orient.
Le nombre 7 est symbolique. Saint-Jean l’a également adopté pour ainsi dire en l’utilisant comme point de départ, comme moyen d’ascension pour gravir l’escalier qui lui permis d’atteindre le ciel, lui montrant tout l’ensemble, présenté par le ciel lui-même ! Puisse cet éclaircissement contribuer à orienter d’autres recherches.
APOCALYPSE DE JEAN : LETTRE AUX SEPT ÉGLISES.
1. 1, 9-11. Vision inaugurale : Moi, Jean, votre frère, qui participe avec vous à la tribulation, à la royauté et à la persévérance en union avec Jésus, je me suis trouvé dans l’île de Patmos pour la parole de Dieu et le témoignage de Jésus. 10. Je tombai en extase un dimanche, et derrière moi j’entendis une voix puissante comme celle d’une trompette, 11 qui disait : « Ce que tu vois, écris-le dans un livre et envoie-le aux sept Églises : à Ephèse, à Smyrne, à Pergame, à Thyatire, à Sardes, à Philadelphie, et à Laodicée ». 21. 1-22, 5. Le monde nouveau et la nouvelle Jérusalem. 1. Puis je vis un ciel nouveau et une terre nouvelle, car le premier ciel et la première terre avaient disparu, et il n’y avait plus de mer. 2. Et je vis la cité sainte, la Jérusalem nouvelle, descendre du ciel, d’auprès de Dieu, apprêtée comme une épouse parée pour son époux. 3. Et j’entendis une grande voix qui venait du trône.. Etc..
L’idée d’un retour du Christ ?
Or Saint-Jean, 14, 1-7 : « Dans la maison de mon Père, il y a des demeures en grand nombre ». Sinon vous aurai-je dit que je m’en vais vous préparer la place ? Et quand je m’en serai allé et que je vous aurai préparé la place je reviendrai, et je vous prendrai auprès moi afin que là où je serai vous soyez vous aussi. - Le Christ n'a pas précisé le lieu. Mais en définitif ce serait l’endroit où Il a préparé la place. * « Et de l’endroit où je vais, vous savez le chemin ». - Par la voie christique, le chemin se reconnaîtrait dans l'au-delà. Thomas lui dit : « Seigneur, nous ne savons pas où tu vas. Comment saurions-nous le chemin » ? Jésus lui dit : « C’est moi la Voie, la Vérité et la Vie. Personne ne va au Père que par moi ». : 15-16, il est mentionné : « Si vous m’aimez vous mettrez mes commandements en pratique 16 : Et moi, je demanderai au Père de vous donner un autre Intercesseur qui soit à demeure avec vous pour toujours. 17 : l’Esprit de vérité que le monde ne peux pas recevoir parce qu’il ne le voit ni le connaît mais que vous, vous connaissez parce qu’il est à demeure chez vous. 18 : Non, je ne vous laisserai pas orphelins, je reviendrai vers vous. - Le Christ reviendra dans l’endroit où il a préparé la place, mais on ne pense pas que l'endroit puisse être terrestre. 19 : Encore un peu et le monde ne me verra plus. Mais vous, vous me verrez. Parce que moi, je suis vivant et que vous vivrez, vous aussi. - Durant le vécu terrestre des Apôtres et au-delà de la vie terrestre.
Ainsi pourrait être interprété le retour de Jésus-Christ. Les Écrits de Saint-Jean seraient les plus Authentiques. D’une part parce que Jean était le disciple qui plaisait le plus à Jésus, du fait de sa clarté d’esprit supérieur. Et d’autre part, Jésus en donnant aux futurs apôtres ses dernières recommandations sur le lac de Tibériade, désigna Jean pour qu’il reste. Afin qu’il puisse témoigner de Lui dans ses écrits. Tout ce qui était nécessaire de rapporter dans les Écritures.
La Résurrection des morts
Le processus de la résurrection des morts dépassera toujours la compréhension, tant que la croyance aveugle se substituera à l’entendement. Les principales raisons qui empêchent d’approcher un peu ce mystère insondable proviennent d’une part, de l’enseignement quasi-inexistant de l’Église catholique, et d’autre part, de ce qui a été lu et interprété en toute ignorance. Aussi, et c’est d’ailleurs le fondement de l’obscurantisme chrétien, tant que la résurrection sera envisagée sous l’angle d’une survivance de la chair même transformée, les voiles recouvrant l’esprit le limiteront.
L’Église catholique et apostolique romaine : son origine remonte aux apôtres. Elle représente la tradition du christianisme. Sa mission : perpétuer l’enseignement de Jésus-Christ en guidant les fidèles vers la lumière du Seigneur. Cette force, hautement spiritualisée assisterait chacun durant sa propre résurrection. Mais il faut comprendre que cette « force » ou « Energie-Spiritualisée », assistera tout autant, un bouddhiste, un musulman ou tout autre individu quelque soit sa religion.
Dans cette nouvelle ère du Verseau favorisant l’ouverture d’esprit, d’après Maurice Guinguand, il serait utile d’aller de l’avant. Il serait inutile par contre de demeurer limité par d’anciens concepts arrêtés et entretenus depuis des siècles par d’éminents représentant de l’Eglise catholique, tout respect gardé. Mais rien ne prouve que la résurrection des morts selon leur interprétation puisse concerner l’enveloppe charnelle périssable irréversiblement. Mais récemment le 10 mars 2011, le deuxième tome du : « Jésus de Nazareth » ; écrit par Benoît XVI, vient de paraître. Extrait : « La résurrection de Jésus fut l’évasion vers un genre de vie totalement nouveau, vers une vie qui n’est plus soumise à la loi de la mort et du devenir mais qui est située au-delà de cela .. »
Personnellement n’étant rien d’autre qu’un simple mortel, cherchant à comprendre les raisons de l’incarnation humaine sur la Terre, et par la voie christique, le sens de la résurrection du Christ, les vues avancées dans l’évangile de Thomas, de Pierre Mestdagh corroboreraient l’idée de faire évoluer dans les mentalités humaines, l’enseignement de Jésus. Sans ne rien déformer cependant, ni transformer à la manière des sectes. Tentons d’approfondir dès maintenant le mystère de la résurrection des corps. Le corps fait de chair et de sang, voué à disparaître une fois mort et enterré ou incinéré. Les Pères de l’Église pour la plupart, affirment que ce même corps sera transformé et ressuscité. Alors une question s’impose.
Croyez vous en la résurrection de la chair ?
On pourrait l’admettre en lecture de l’Homélie, un article parmi d’autres, du Frère Jean-Philippe REVEL : « JE CROIS EN LA RESURRECTION DE LA CHAIR », inspirée de, I Corinthiens 15, 12-19. Jean 6, 16-24. Un extrait de son interprétation ci dessous : « .. que la chair du Christ et notre chair c’est tout un. Il a voulu prendre une chair en tout semblable à la nôtre. Ce n’est pas une chair particulière, etc.., ce n’est pas un corps astral que le corps du Christ Ressuscité. Il n’a rien à voir avec ces élucubrations qu’un certain nombre de sectes accumulent. . ».
Avant de poursuivre l’article, étudions brièvement le dernier paragraphe : « Touchez Moi, voyez, que Je ne suis pas un fantôme ! ». Cette phrase inciterait à prendre au premier degré la résurrection accomplie dans le corps de chair de Jésus ? Cela pourrait être compris ainsi. Mais le sens réel, transcende le plan matériel, tandis que la compréhension demeure mentale. D’où des erreurs d’appréciations, et de ce fait, d’interprétations. Cependant, cela n’a aucune importance. En effet, si la foi porte l’individu à croire à sa manière que la résurrection ramènerait son corps de chair à la vie, cette idée est égale à celui qui penserait que la résurrection s’accomplirait autrement.
Pour orienter une autre réflexion, rapportons un extrait de : Au-Delà Réincarnation La Résurrection, (chap 7), p. 206 : Les apparitions du Christ ressuscité : « Lorsque le Christ s’adressa aux Onze réunis dans le cénacle, il leur apparut sous son aspect physique. Sans leur manifester sa divinité de façon à pouvoir leur prouver ce qu’il avait été. C’était pour préciser également à Thomas les moyens de son incrédulité. Mais ils ne virent pas comme les disciples d’Emmaüs, l’aspect christique que prenait en fait leur compagnon ».
Comment comprendre la réalisation du Christ ? Il est apparu visiblement. Mais en vérité. Il apparut sous une forme pouvant se rapprocher de ce qu’il avait été physiquement. Alors que parallèlement, sa progression se poursuivait sur un plan astral et divin en même temps. L’explication qu’on essaie d’étayer mentalement seulement, paradoxalement ne parvient pas à frayer son chemin. Il faudrait avoir atteint un état semblable pour être en mesure de le faire, et être certain aussi de ne pas commettre d’erreur.
C’est pourquoi même si le Frère Jean-Philippe REVEL écarte l’idée que la résurrection de Jésus n’a pas pu non plus, procéder d’un corps astral, on ne peut que lui donner raison lorsqu’il écrit : Le corps ressuscité du Christ n’a rien à voir avec ces élucubrations, qu’un certain nombre de sectes accumulent, concernant justement le corps astral, décrit sous l’angle d’une connaissance éparse, non véritable et non vérifiable.
Effectivement, ne soyons pas influencé par les faux prophètes, ni par ceux qui pourraient affirmer ou se vanter, d’avoir atteint une maîtrise dans ces domaines. Prétendant pouvoir enseigner quelconques savoirs, concernant le devenir de l’être. Combien parlent à tort et à travers, de différents niveaux de hiérarchies dans l’au-delà. Commentant avec beaucoup de détails, le voyage astral comme si ils l’avaient déjà expérimenté totalement, ce qui est impossible du vivant. Partiellement, c’est possible, mais par une minorité d’individus plus certainement. Mais brièvement ce qui étonne dans ces récits d’expériences sur un plan astral, c’est que la majorité des témoignages, hormis peut être une petite poignée, et on ne parle pas ici des expériences de mort imminente (N.D.E.), qui content leurs exploits, ne précisent nullement le but de la sortie hors du corps. Qui plus est, les détails rapportés depuis ce monde éthéré, se retrouvent à travers les courants théosophiques, spirites, et autres similaires. L’ensemble demeurant très élémentaire, c’est le cas de le dire, les témoignages sont souvent dénués de sens. Poursuivons.
Ici même, bien qu’en écrivant uniquement dans l’intention d’approcher le sens réel, que Jésus a transmis à ses disciples, durant et après son incarnation terrestre, rien ne pourrait être pris comme une vérité. Mais plutôt comme un moyen permettant de nouvelles interrogations. Qui est le Père dans les Cieux ?
Le Père dans les cieux
Une remise en question qui pourrait apparaître blasphématoire. En fait, pour orienter une nouvelle réflexion à l’idée d’un père dans les cieux, il faudrait se défaire un peu des idées reçues provenant du courant religieux auquel on appartient. Il faudrait balayer ce qui a été appris par cœur et que l’éducation, et la croyance populaire ont pu renforcer, sans omettre l’influence exercée par l’Église catholique. D’antan, l’Eglise effectua un bon nombre de tris pour d’une part, cibler et extraire les textes qui lui parurent correspondre le mieux à un Dieu masculin tout puissant. Et d’autre part, parmi une multitude d’évangiles, il fut prélevé le juste nécessaire de l’enseignement de Jésus. Les Pères de l’Eglise ont attesté l’authenticité des quatre évangiles que nous connaissons, relevant directement de la transmission de Jésus. Il ne reste qu’à le croire. Sans oublier saint Paul qui s’est fait le porte parole d’un enseignement qu’il n’a pas reçu, puisqu’il n’a pas été désigné apôtre par Jésus.
En vérité ! L’ Église n’a cessée d’entretenir au fil des siècles et sous le couvert de la foi, qu’on ne saurait lui reprocher, hormis peut-être : « six siècles d’inquisition ! », une religion selon ses vues !
Reprenons l’Homélie de Frère Jean-Philippe REVEL. Dans la forme on retrouve le même principe, nourri par les Pères de l’Eglise depuis des siècles jusqu’à nos jours. « Et si la chair du Christ est ressuscitée, etc.., si la chair du Christ est transfigurée par sa résurrection, c’est que notre chair aussi est appelée à cette résurrection.. »
Il est vrai que le Christ a atteint un degré de spiritualisation exceptionnelle. Il s’agirait de sublimation d’un état alchimique. Nous ne pouvons imaginer la force nécessaire qu’il dut déployer pour transparaître physiquement. Tandis que sa progressive transformation aurique devait l’entraîner à monter vers le Père.
Mais attention, au risque de scandaliser des représentants du christianisme et des fidèles en général. Le Père serait peut être un état de spiritualité. Un niveau. Un seuil. Une étape. Un refuge ? Plus peut-être, qu’ un Père inimaginable dans les cieux, avec qui, en soi, et sans n’avoir jamais pu se le représenter, un lien étroit se créerait. Mais depuis l’idée de Jésus d’un Père dans les cieux, car cette idée préexistait.
N’oublions pas que nombreux textes ont été jugés faux par l’Église, alors que Jésus avait souhaité que Jean témoigne de Lui, plus tard, dans ses écrits. Loggia, « apocryphes », on découvre : « Je suis le père, je suis la mère, je suis le fils ». Livre des secrets de Jean. Mais l’Eglise n’a autorisé que quelques courts épîtres et son Apocalypse dans la Bible, en se gardant bien d’introduire des preuves de l’Eternel Féminin, présent dans des écrits de Jean, et dans ceux d’autres apôtres également. Mais pour les siècles, des siècles. Tant que l’être humain s’incarnera sur le plan terrestre, il aura dans la plupart des cas : « Un père et une mère », donc un point de ralliement, unissant le masculin et le féminin pour faire : UN. La réalisation de Jésus est bonne pour que l’être humain puisse être assisté par un Dieu : « Père et Mère » à la fois. Autant qu’il l’aura été depuis petit enfant sur le plan terrestre par ses parents.
A présent l’extrait de Frère Jean-Philippe REVEL. « .. c’est que notre chair est assez importante aux yeux de Dieu pour qu’Il la rappelle du tombeau, pour qu’Il l’arrache à la pourriture.. ». On ne saurait partager son point de vue. Voici la raison. Rationnellement, tout corps décomposé après la mort ne pourrait être ramené à la vie. Il y a là un non sens. Une volonté exacerbée pour vouloir accréditer de la puissance d’un Dieu aux pouvoirs extrêmes ! Pour qu’un miracle pareil se réalise. C’est insensé. Et en même temps si c’est bien la foi qui anime les Pères de l’Eglise, et ici le Frère Jean-Philippe REVEL, si d’après lui, tout est possible à Dieu comme permettre à un corps (humain) d’être arraché à la pourriture, il pourrait y avoir dans l’idée malgré tout, une vérité.
Les représentants de l’Eglise, pour la plupart, ne sont pas dépourvus de bon sens ? Ils savent pertinemment que dans le processus de la mort, comprenant l’oxydation et la décomposition, rien ni personne ne pourrait rien changer. Tout corps inhumé se transformant en poussière ou incinéré ne pourrait renaître de ses cendres. Alors ? Si on gommait tout ce qui se rapporte au corps humain, dans l’Homélie de Frère Jean-Philippe REVEL, on pourrait s’orienter vers une nouvelle réflexion. Cette supposition ne serait-elle pas plus plausible ?
Mais à cause d’un obscurantisme bien prononcé, l’Église chrétienne depuis des siècles n’a jamais voulu connaître le ciel, astronomiquement parlant. On pourrait penser qu’il n’y a aucun rapport de prime abord. Mais de ce fait, l’Eglise chrétienne n’a jamais su, ni voulu admettre une quelconque correspondance pouvant coexister entre la mandorle, auréole entourant la tête des saints le plus souvent, l’aura de l’être humain et la résurrection. Cet ensemble aurait pris alors tout son sens et aurait interpellé.
- Or ? « .. Oui, nous sommes des êtres d’esprit et de chair et notre esprit est profondément incarné dans notre chair.. ». Cette dernière définition pourrait porter à la confusion, induire en erreur.
En effet, si il s’agissait de l’esprit, pour la partie intellect, dont le cerveau est dans la chair, on comprendrait. Mais Frère REVEL précise l’esprit incarné dans la chair. Dans quelle partie, dans un bras ? Dans une jambe ? Dans la tête ? Demeurons objectif. Et inspirons nous de la réalisation du Christ.
Pour nous, l’Esprit descendrait dans la matière, en s’incorporant dans le fœtus de la femme enceinte. Mais avant l’incarnation totale de l’être. D’après Maurice Guinguand qui détenait une faculté de voyance : « C’est aussi le point qui, chez la femme enceinte de deux mois, s’illumine d’une petite lumière bleue, faisant constater la venue de l’esprit et de l’âme dans le fœtus. C’est pourquoi, un avortement avant deux mois et demi, n’est qu’un acte contrariant la nature. Mais plus tard, c’est un acte contre l’esprit. Le mot « esprit » ne veut pas dire vivacité de l’intelligence, mais animation sacrée, et pour ainsi dire divine. ».
Mais comme déjà précisé plus haut, si on utilisait la définition, l’Esprit dans la chair, en rajoutant d’une autre composition que celle du corps humain, on aurait peut être une clé permettant d’imaginer plus objectivement la résurrection. D’où procéderait un autre état d’existence qui ne concernerait plus le corps charnel. De ce fait. « … notre chair est tout entière remplie de la puissance de l’esprit que Dieu nous a donné. » On pourrait ajouter, par son Fils dans le baptême ou le réveil du Saint Esprit, stimulant le corps non terrestre de l’être pendant que la puissance de l’Esprit, renforcerait à la fois le corps fluidique ou aura, et le corps physique en même temps.
En conclusion, le cas de Jésus-Christ dans l’Histoire de l’Humanité, jusqu’à nos jours, est unique ! C’est à savoir. Jamais aucun être humain n’a pu réapparaître après sa mort et à plusieurs endroits, tout en étant déjà imprégné de son accession, très proche à la divinité. Entre la sortie du tombeau, puis le passage aux pèlerins d’Emmaüs, et son ascension, le Christ a déjà, non seulement la prémonition et la pré connaissance divine qu’il va contacter mais il en a également l’imprégnation. C’est pourquoi il est invisible, sur le plan terrestre, sur le plan humain ou sur le plan physique, si l’on veut. Il est informel, il prend une forme humaine vraisemblable, sans qu’il ne s’agisse pourtant de son ancienne apparence. C’est la raison pour laquelle, Marie la Magdaléenne se rendant la première au tombeau du Christ, crut que c’était le jardinier et lui demanda : Si c’est toi qui l’a emporté dis-moi où tu l’as mis ? Or, c’est bien à Jésus qu’elle s’adressa en posant cette question. Jésus ressuscité après : « Trois jours et demi .. » ; Selon ce qu’il avait annoncé. C’est-à-dire, ressuscité d’entre les morts et parmi les vivants.
Le Christ eut la force spirituelle nécessaire pour manifester sur terre aux yeux de tous, une forme apparaissant humaine, alors qu’ultra dimensionnelle, elle l’imprégnait déjà, pour le transcender par la suite totalement. Au moment de l’Ascension.
Nous rendons-nous compte ? C’est lors de ce passage vers un plan supérieur que ce corps astral, (que l’Eglise refuse de connaître), appartiendra alors à un magnétisme non plus terrestre, mais extra-terrestre ! Que nous pourrions appeler « magnétisme universel ».
C’est durant ce passage, que ce double éthérique pourrait devenir visible, s’il était possible pour nous de le faire, si Dieu le permettait, et si l’on en avait la force. Mais durant ce moment, nous risquons d’en manquer, du fait qu’on ne saura pas encore ce qu’on est devenu. Ceci est à mettre en correspondance avec l’état d’évanouissement de l’âme, durant les trois premiers jours qui suivent le décès.
Cependant, il arrive que le défunt parvienne à manifester un signe à l’être aimé. Ce qui pourrait aider et réconforter de le savoir à l’avance. Ici s’achève la résurrection des morts. Puissent de nouveaux concepts naître dans les mentalités, afin de progresser sur les chemins évolutifs de la vie.
Chapitre II
Imaginons que la résurrection de Jésus soit une preuve d’une continuité de la vie au-delà de la mort. On entend que la résurrection donnerait accès à une vie éternelle mais tout cela demeure inexpliqué et inexplicable ? Or, si on se basait réellement sur les apparitions de Jésus, l’inexorable mort qui effraie tant se concevrait peut être différemment. Jésus n’avait-il pas annoncé à plusieurs reprises : « Trois jours après je ressusciterai » ? C’est une indication et elle est utile.
Mais avant toute chose, on n’insistera jamais assez pour préciser ne rien savoir. Ce qui suit ne pourrait être pris comme une vérité, mais uniquement comme une réflexion. L’hypothèse d’une probable continuité de la vie après la mort, même hors religiosité, repose en grande partie sur les descriptions du Christ ressuscité : les phénomènes de disparition de son corps du tombeau, ou encore son changement d’apparence. D’ailleurs, commentateurs et représentants de l’Église n’y ont absolument rien compris. Mais dans cette supposition d’une vie après la mort, on se réfère également à des témoignages authentiques de personnes ayant expérimenté une mort imminente. Ainsi que sur des états de dédoublements personnels, communément appelés sorties astrales ou voyage astral. Mais entendons bien : qu’il s’agisse de vérités ou d’extrapolations, ces témoignages ne sont que le minima du processus d’une mort définitive.
Débutons. Les sorties hors du corps ont pour beaucoup influencé la portée de ma vie, non pour être parvenu à une quelconque réalisation, mais pour avoir cherché à savoir si des correspondances ou des similitudes pouvaient se retrouver ou co-exister ailleurs. La plupart des récits, dont certains très émouvants, lus sur le web, d’autres contant le « voyage astral », ne m’ont pas permis une avancée dans ces domaines encore inconnus. Les états d’EMI ou « décorporations » nommées ainsi dans le livre du Dr Moody : « La vie après la vie », ne seraient que les prémices de ce qui se passerait réellement durant et après la mort.
D’une part, concernant les EMI, du fait qu’il n’y a pas eu « mort totale » ; on ne peut pas dire que ce fut la plénitude de la vision définitive de l’être de lumière venant justement assister le seuil de l’après vie. Tous cependant ont partiellement mémorisé ce qu’ils ont vu. Et d’autre part, concernant les sorties astrales, non dues à un arrêt cardiaque momentané, mais volontairement expérimentées ou subies. Elles ne s’opèreraient que du corps éthérique qui se dissocie, et qui s’éloigne des limitations terrestres, mais qui ne s’en détache pas complètement puisqu’il est toujours relié par la « corde d’argent », au corps physique. Toutes hypothèses avancées ici ne pourraient avoir de réalité propre sur un plan non terrestre.
Suite à la cessation de la vie physique, un détachement, (double de sens), débuterait à compter des « trois jours » déclaré par Jésus. Il s’agit d’une durée variable d’un individu à un autre faisant place progressivement à un mode d’existence différent. La finalité d’une vie pourrait engendrer momentanément, (non dans tous les cas), un sentiment d’amertume, un désarroi. On s’éloignerait de ses proches attristés, comme poussé à s’extraire de la matière qui semblait unir. Dans cette impossibilité d’être considéré autrement que gisant physiquement sans vie, aurait débuté le détachement du corps éthérique sur une durée de trois jours, plus ou moins. La conscience un peu en retrait demeurerait malgré tout, sans permettre toutefois de savoir ce que l’on est devenu dans la plupart des cas. A ce stade, l’esprit libéré de la matière recevrait diverses impressions. Ce qui dépassait du vivant pourrait être perçu progressivement rapport à son entendement. D’infimes exhortations sans directives pourraient guider. Cette assistance découlerait en partie d’un principe causal propre à la trajectoire qui entretiendrait un déterminisme initial, en bien comme en mal. Dans le sens du bien, cela pourrait aider à traverser le sombre monde des entités. Dans le sens du mal, c’est une autre histoire.
D’autres éléments concourraient à faciliter ce passage un peu effrayant, obscur, noirâtre. Le ressenti d’une omniprésence indéterminée pourrait participer. S’agirait-il d’êtres de lumière, des esprits bons, ou encore des proches jadis décédés ? Bien que nous ne le sachions pas, leur concours ne serait pas à exclure. Mais cela pourrait-il être dans cet environnement immédiat qu’il faudra parcourir seul durant un laps de temps ? Nous n’en savons rien. D’ailleurs, s’approcherait-on de ce qui est réellement ? Cependant, apprenons que le plus saint des saints traverse ce lieu ténébreux. Quand bien même le passage devrait être d’une courte durée. C’est le long tunnel sombre ainsi décrit dans les expériences de mort momentanée.
D’après divers témoignages, l’extrémité de ce tunnel baigne dans une lumière resplendissante qui emplit l’être d’un amour infini sans pour autant l’avoir rejoint. Mais ce changement d’état ne prédisposerait pas toujours pour attirer l’attention des vivants et encore moins leur faire comprendre que la vie semblerait continuer.
Ce double éthérique pourrait ne pas immédiatement être reconnu ni révélé à la conscience comme étant son corps doté soudainement d’extraordinaires perceptions. Cela permettrait une interaction spontanée avec les courants ambiants propres à ce nouveau mode d’existence. Nous ne savons pas si la pensée individuelle participerait. Si c’était le cas, on disposerait alors de suffisamment de force pour réaliser l’état aurique qui serait sien.
Selon les convictions, les croyances, la résurrection de Jésus pourrait être un point de ralliement permettant une pré-connaissance du corps de résurrection fait de chair astrale. C’est dans ce corps que s’ensuivrait une évolution dont on n’a aucune idée, pas plus que sur la finalité. Pourrait-on supposer rejoindre dans un autre monde tous ceux que l’on aurait aimés ? Par la voie christique, peut-être serait-ce la lumière du Seigneur ? Serait-ce dans les desseins de l’Éternel que s’accompliraient les retrouvailles ? C’est un mystère dont la révélation attend. Un mystère qui ébranle. Il nous désempare de notre vivant. Quand bien même la peine submerge un être ayant perdu un proche, dans la plupart des cas, ce dernier n’est pas pressé d’aller le rejoindre. Il demeure un fossé entre la vie et la mort. Une totale incompréhension. C’est normal.
Expliquons à présent le double éthérique, sa nécessité durant la vie du corps physique. Mais également son rôle à la mort. Ce corps éthéré n’est pas illusoire. Il a une réalité sur un autre plan. Il enveloppe dans sa totalité le corps physique et spirituel de l’être depuis sa naissance jusqu’au trépas et bien au-delà. C’est pourquoi dans le cas de résurrection de Jésus et en dehors de toute religiosité, on découvre des indices manifestes comme les trois jours au tombeau. Cette durée comprend un processus débutant une fois franchi le seuil de la mort. Mais pouvant également débuter un peu avant dans certains cas. Maintenant, savoir si ce processus est universel, on ne le sait guère. Mais c’est probable en tous cas. Avec quelques variantes, certaines anciennes traditions en parlent.
Le double éthérique de couleur jaune est le premier corps subtil entourant le corps physique. Ce corps est relié par une fine corde argentée localisée au nombril. Lors de la mort, et à l’inverse de la naissance, la corde d’argent se détache progressivement de son centre localisé au nombril. C’est une curieuse constatation apportant dans les deux cas, le début de la vie. Le rôle du corps éthérique du vivant : réguler l’énergie, les substances et la vie circulant dans l’organisme qui sans lui n’obéiraient qu’à leur propre loi en détruisant tout l’ensemble.
Il est mentionné dans - L’Ecclésiaste, 12. 6. - avant que se rompe le cordon d’argent, que se brise l’ampoule d’or .. Mais ses textes inspirés de différents courants et cultures ne relèveraient pas vraiment d’un savoir authentique. – Mais il n’y a pas de fumée sans feu.
Trois jours après.. Il serait question d’un temps de trois jours terrestres pour que le détachement de la corde d’argent soit total et définitif. C’est pourquoi par le passé, en suivant la tradition, on se gardait d’enterrer le défunt avant que ne se soient écoulées soixante douze heures. C’était pour faciliter la séparation du corps éthérique avec sa corde d’argent. On pensait que ce temps était nécessaire pour la montée de l’âme au « ciel ».. A notre époque, dès que la mort clinique est approuvée, c’est plutôt assez rapide et expéditif ! Mais on ne pense pas qu’il pourrait y avoir des répercussions contrariant le processus du détachement du corps éthérique. En quelque sorte, il suivra son programme prédéfini.
« L’être qui vient de naître ou celui qui approche de la mort sont en voie de passage entre l’au-delà et le ici-bas. Le nouveau né demeure encore en contact, ou tout au moins, en possibilité de contact avec le monde d’où il vient. Il est venu tout récemment sur terre, 222 jours avant sa naissance », d’après des observations de Maurice Guinguand.
Le lecteur pourra imaginer un lieu inconnu ou presque, excepté des vrais voyants. Autant dire, rares sont-ils contrairement à ce que l’on pourrait penser. Ce lieu nommé "au-delà", échappe aux sens ordinaires généralement.
Les descriptions de Maurice Guinguand sont claires. Cet homme, écrivain ésotériste détenait un grand savoir et des facultés très particulières. Ses travaux déposés ne se retrouvent nulle part ailleurs, découvrons :
« L’être qui va mourir perd l’opacité de sa matière. Il se fluidifie et commence à reprendre contact, comme s’il émergeait des profondeurs des eaux, vers un monde éthérique dont il a peu à peu la perception. C’est ainsi que nouveaux nés et mourants peuvent percevoir ce que l’on appelle les fantômes. Ou plus exactement les formes éthériques.
Ceci revient à concevoir l’existence d’une zone de transition entre les deux milieux de la matière et de l’immatériel. Zone aussi réelle que la couche de brume qui flotte au matin sur les eaux. Couche visible, opaque, et d’une épaisseur appréciable que nos sens nous permettent d’abord de distinguer, mais qu’ils nous empêchent ensuite de pénétrer. C’est dans cette zone que coexisteraient en quasi contact les incarnés et les désincarnés attardés. Chacun au voisinage du milieu qui n’est pas encore le sien ou qui n’est plus le sien.
Quand l’être commence à s’incarner il est une parcelle de lumière qui s’enlise peu à peu dans la matière et l’enfant cesse de vivre avec les anges. Il ne peut que continuer à leur sourire. Il se détache de "l’au-delà". C’est ainsi qu’on dit, que les enfants rient aux anges. Il finira, il perdra sa vision dès qu’il aura atteint l’âge de 7 ans, ce que nous appelons nous, l’âge de raison.
Le mourant par contre, commence à percevoir l’état dans lequel il se retrouvera bientôt et il se sensibilise à l’approche de cet état qu’il va acquérir. État d’attente avant une réincarnation future ou état de transition, avant une évolution vers les mondes supérieurs.
C’est à partir de là qu’il appartiendra alors à un monde, à une zone proche de la terre, avec laquelle il lui sera possible d’entrer en contact. Débuterait le spiritisme exercé depuis l’aube des temps ».
C’est un domaine qui n’intéresse pas ici, et pour lequel un chapitre entier lui a été réservé dans le livre : « Au-delà Réincarnation la Résurrection », dans le but de prévenir et mettre en garde des dangers du spiritisme. Afin de démystifier à juste raison aussi, certains milieux spirites, dans la lignée d’Allan Kardec dont la réputation n’est plus à faire.
Une description du corps astral nommé « Périsprit » pourrait attirer l’attention, (voir plus loin). Mais la tendance moderne des années 30 jusqu’à notre époque, ne semblerait guère avoir éclairé la pratique du spiritisme, et encore moins celui dit christique.
En effet, dans la plupart des ouvrages spirites, il est précisé que la nature du corps astral ou périsprit est composée de matière. De notre point de vue, il semblerait y avoir une confusion et un manque de discernement dans les déclarations spirites..
A notre connaissance, le corps astral n’appartient ni au plan matériel, ni à son magnétisme. De ce fait, il ne pourrait être composé de matière. L’origine de ce corps est issue d’un monde au-delà de la matière.
Mais cela pourrait s’expliquer. D’une part, les esprits qui renseigneraient des individus ayant la faculté de médiumnité, seraient proches de la terre. Et d’autre part, ces esprits n’appartiendraient pas, ou pas encore, à un monde supérieur.
De ce fait, leurs corps astraux témoigneraient du degré d’avancement individuel sur un des échelons d’une progressive évolution. Parmi d’autres esprits semblables, et inférieurs également. C'est pourquoi la vibration proche encore de celle de l’aura de la terre, les corps astraux apparaîtraient encore grossiers, de même que leurs propres corps.
Cette explication est strictement personnelle. C’est une projection sans aucune validité. D’une part, il serait bien difficile de parvenir à détailler précisément, (à l’exception de vrais initiés), la condition réelle d’un esprit dans l’au-delà. Et d’autre part, on ne peut pas non plus se fier aux témoignages des spirites pour la raison suivante: Quand bien même on reconnaît une faculté particulière chez les médiums, et les spirites, les prédisposant à établir des contacts avec des personnes défuntes, cela ne veut pas dire que ce qu’ils dépeignent soit une réalité, pas plus qu’une généralité.
Chacun voit, ressent et perçoit à l’échelle de ses perceptions, de sa sensibilité, de son niveau psychique, et spirituel si apport, car c’est une notion qui peut être inexistante également. Il y a dans le monde parallèle des esprits sans vie, c’est à dire, aucunement animé par l’Esprit. Certes, ils peuvent renseigner mais jusqu’à un certain point. Mais ils peuvent également, sans vraiment savoir, induire volontairement ou involontairement dans l’erreur. On ne peut en juger. Mais on peut prévenir.
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Infernal Paradis Par Maurice Guinguand : « Devenu très en vogue, au XIX ème siècle, après les essais et les publications d’Allan Kardec, le spiritisme était interdit par l’Eglise.
On appelle spiritisme une méthode, un moyen permettant de communiquer avec les esprits d’alentour, que ce soient les esprits du monde inférieur astral, ou les esprits du monde de transition.
Il est très rare de pouvoir communiquer avec les esprits du monde astral supérieur, car c’est mettre en œuvre la sensibilité, si bien que la communication touche de près le mysticisme ou l’extase.
Dans le spiritisme, il convient d’entrer en contact avec des personnes ayant vécu sur terre, susceptibles de redonner des éléments de leur vie, ou les causes de leur mort, afin que tout puisse être vérifiable, ou encore d’indiquer à ceux qui les interrogent les clés de leur devenir.
En cela, le spiritisme serait une interrogation s’adressant à la conscience universelle par un intermédiaire dématérialisé, pour pouvoir pénétrer les secrets de l’au-delà.
Il faut être très prudent avec cette technique et ces contacts. On peut très aisément avoir liaison avec des entités d’un monde inférieur, les croyant appartenir à un monde supérieur, et le consultant suit alors les directives données. On finit par ne faire qu’un avec ces êtres invisibles, et si l’on persévère, c’est la possession qui vous guette ou la névrose à un état presque incurable.
Je ne peux citer les cas de certaines voyantes s’identifiant par un pseudo-mysticisme à Dieu, lui même, ou à la Vierge Marie ou au Christ, fondant leurs visions sur des entités d’un monde animal inférieur. Il y a là erreur profonde, cause d’un grand nombre de désillusions ou d’égarements.
On peut obtenir des dialogues très intéressants, mais il faut le faire aux moments convenables. Il est nécessaire de créer une ambiance, un égrégore et de ne pratiquer que selon un rite et un certain respect d’où la curiosité sera exclue. »
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Les portes de l’Au-delà sont tout à fait indiquées pour débuter notre sujet. Lieu de passage, peuplé d’esprits, demeurant existentiel et transitoire à la fois. Mais depuis ce niveau, il ne pourrait être révélé ce que l’évolution à venir réserverait.
Le spiritisme semblerait affirmer le contraire. En effet, ce dernier se targue d’établir des contacts avec des esprits d’un haut niveau spirituel qui instruisent du devenir après la mort et bien au-delà. De la part d’esprits prétendus supérieurs, les réponses nous ont paru très rudimentaires et sans grand intérêt. C’est une des raisons qui nous pousse à ne pas reconnaître comme une vérité, les communications spirites. Poursuivons.
Durant « les trois jours » annoncés par Jésus s’accomplirait le détachement complet du corps éthérique avec sa corde d’argent. Cette première phase permettait peut-être une reconnaissance progressive de l’état d’après la mort. Plan fluidique, non plus physique, mais plan éthéré auquel accéderait le défunt. Ainsi, ce corps éthérique détaché de la matière deviendrait le véhicule de l’esprit doté d’une conscience innée. Mais sans que l’esprit soit d’appartenance à celui-ci. De ce fait, ce corps ne serait pas le siège de l’esprit, mais serait porté par « l’esprit », et là où Il le voudrait. Or, tous, nous ne relevons pas de « l’Esprit ».
D’un entretien avec Nicodème on trouve dans l’Evangile de Saint Jean (à partir de 3.3), des paroles précieuses de Jésus qui pourraient avoir un rapport avec ce qui vient d’être avancé, dont celles qui différencient l’Esprit, de la chair (3.6) :
« Ce qui est né de la chair est chair et ce qui est né de l’Esprit est esprit ». Les paroles de Jésus renseigneraient également sur le devenir de l’être après la mort, sans que l’esprit puisse directement intervenir dans les desseins futurs qui l’attendent. (3.7) :
« Ne t’étonne pas que je t’aie dit. Il vous faut naître d’en haut* »: (3.8). « Le vent, (l’Esprit) souffle où il veut et tu entends la voix mais tu ne sais ni d’où il vient ni où il va ainsi en est-il de quiconque est né de l’Esprit ».
- Le spiritisme a retenu une autre version précisant : « naître de nouveau ». De cette façon, il confirme la réincarnation. C’est « un état d’esprit » comme un autre.
Cependant, l’éventualité de réincarnation ne serait pas à rejeter, tant qu’un monde supérieur ne serait pas gagné. Mais comment expliquer plus avant ce qui échappe aux esprits eux mêmes ?
Par ailleurs, les désignations : corps éthérique et corps astral demeurent « tabou » à notre époque. Ces appellations ne sont pas reconnues de tous, à en croire le Frère Jean-Philippe Revel qui affirme: « ce n’est pas un corps astral que le corps du Christ Ressuscité ».
Souvent, il y a rejet de ce qu’on ne connaît pas. Et lorsque l’Église occulte ce qu’elle juge infondé, les bruits qui courent finissent par se dissiper pour ne plus demeurer qu’en vase clos et partagé par une minorité.
Par exemple les expériences de morts imminentes sont ignorées par l’Église catholique. Elle ne s’est jamais prononcée sur ces phénomènes. Pourtant, il s’agirait bien d’un cheminement naturel qui attendrait l’être après la vie.
Ce désintéressement expliquerait en partie le peu d’informations qui circule. Hormis le New-Age qui en parle et autres intéressés. Mais en effectuant une recherche sur le net, les milieux spirites semblent exceller dans les domaines de l’après vie, en présentant à leur manière une lecture abondante et très détaillée.
Or, seul le spiritisme détiendrait-il une connaissance approfondie de la vie après la vie ? Ce n’est guère une évidence et encore moins une certitude. On retrouve pourtant l’appellation corps astral et on découvre aussi celui de Perisprit : « Comme le germe d’un fruit est entouré du périsperme, de même l’Esprit proprement dit est environné d’une enveloppe que, par comparaison, on peut appeler : périsprit ».
Ce terme employé par le spiritisme ne serait que le corps astral sous une autre conception. De notre point de vue, Il pourrait être un manteau inusable pouvant servir de capuchon à tous les êtres se réincarnant en vies successives mais appartenant à un même chromosome.
Et chacun de nous a un chromosome particulier qui peut très bien se reproduire en vies successives. Car la pensée ou la vibration qui a mis en vie celui-ci ne meurt pas. C’est une parcelle du Verbe résidant en soi, voisinant très probablement avec l’âme. Et c’est lui qui anime la première cellule qui nous donne la vie. Pourrait-il alors se retrouver dans les êtres qui seraient nos incarnations successives ?
En conclusion, si dans notre sujet on trouvait des similitudes avec le spiritisme, il faut savoir que tout nous sépare.
Jésus a laissé un message à l’Humanité : « Celui
qui croit en Moi aura la vie Éternelle », de
même, il a enseigné le rituel de l’Eucharistie
en disant : « Vous ferez cela en mémoire de
moi.. ».
« Au Nom du Christ » suffit pour surpasser ici-bas
et dans l’au-delà, toutes classes d’esprits, comprenant également les
anges, les archanges, etc.. Ils correspondent à
une montée dans l’état supra évolutif menant à un plan supérieur, puis divin. A
partir de là, on approcherait peut être d’ une « vérité vraie ».
Le dédoublement correspond- t-il à la mort ?
On compare la mort à un voyage astral, pourquoi pas ? On prétend que le dédoublement lui ressemble, et que l'individu «exercé» à cette pratique serait avantagé lors du passage. Enfin pour valider ces propos, on rapporte : « Il est nécessaire de savoir bien mourir enseigne les Tibétains, maîtres de cet art difficile, en conservant une conscience toujours claire, dont dépend la qualité de la vie future ».
Débutons. Même si on est habitué au dédoublement volontaire et contrôlé, celui-ci ne s’opère que du corps éthérique qui se dissocie ou qui s’éloigne des contraintes terrestres. Mais il ne s’en détache pas complètement puisqu’il est toujours relié par la corde d’argent, au corps physique.
Pour l’individu évolué, entraîné au dédoublement : Au seuil de la mort, nous sommes d’une part, tous égaux. Et d’autre part, en fonction du genre de mort qui serait destinée, il devrait être supporté jusqu’au détachement complet de l’âme, les contraintes éventuelles ou les douleurs de l’organisme chancelant, si maladie. Car dans les instants d’agonie, l’organisme souffreteux régit fébrilement la vie dans l’ensemble du corps. Mais il n’en serait pas moins qu’une machine qui ne se serait pas encore arrêtée. De ce fait, l’entraînement au dédoublement n’accélérerait en rien la cessation de la vie dans l’organisme humain. On ne le pense pas.
Cependant, lorsqu’une personne demeure entre la vie et la mort, ce processus non comparable au dédoublement, exempterait progressivement l’individu des souffrances qu’il pouvait subir. Car à mesure que la vitalité du corps s’épuise, le détachement de la matière s’opère, et l’individu en subit de moins en moins les contraintes. « Il est nécessaire de savoir bien mourir enseignent les Tibétains maîtres de cet art difficile ».
Tout cela ne dépend pas entièrement de nous et de notre choix. Il est cependant utile et bénéfique que les proches du défunt se servent d’une cérémonie pour assister à l’élévation de l’âme. Donc facilitant l’extériorisation du double éthérique.
Les Tibétains pratiquent un rituel fort complexe. Par exemple, on presse les artères du cou lors de l’arrêt cardiaque pour que le sang afflue encore dans la tête, pendant quelques instants. Sans doute, pour que le mort puisse conserver la disposition d’esprit qu’il avait dirigée à la lecture du Bardô-Thodol. Après la dernière expiration, on croit que la force vitale demeure dans le nerf médian, (cœur), jusqu’au dernier battement. Il est dit communément, qu’alors la connaissance s’est évanouie. - Principe conscient ou principe de connaissance objective. La durée de cet état est incertaine. Elle dépend de la constitution bonne ou mauvaise des nerfs. Et de la force vitale. Même chez ceux qui n’ont eu qu’une très petite expérience pratique, de l’état ferme et tranquille du dhyàna. Et chez ceux, qui ont les nerfs calmes, ce moment dure un long temps ».
Cet évanouissement, ou Principe conscient se dissipant, se retrouve sous l’appellation de trouble de l’âme, dans Le Livre Des Esprits de Allan Kardec : « Trouble spirite » . - 163 : L’âme en quittant le corps, a-t-elle immédiatement conscience d’elle- même ? Conscience immédiate n’est pas le mot, elle est quelque temps dans le trouble ».
164 : Tous les Esprits éprouvent-ils au même degré et pendant la même durée, le trouble qui suit la séparation de l’âme et du corps ? : « Non, cela dépend de leur élévation. Celui qui est déjà purifié se reconnaît presque immédiatement parce qu’il s’est déjà dégagé de la matière pendant la vie du corps. Tandis que l’homme charnel, celui dont la conscience n’est pas pure, conserve bien plus longtemps l’impression de matière ».
Avis personnel. La description ci-dessus est plausible. C’est une indication utile. En effet, du fait du détachement du corps éthérique, du corps physique, à la mort, l’esprit du défunt survivrait, ou perdurerait dans l’au-delà. Un éveil de la conscience - dans ce nouvel état astral - pourrait ne pas être immédiat.
C’est peut être pourquoi, saint-Paul mentionne, dans. 1. aux Corinthiens, 3.- 15, 51 : « Voici que je vais vous dire un mystère, nous ne mourrons pas tous.. ». C’est-à-dire, qu’il est sans doute permis, et possible, de prendre conscience du changement d’état, qui s’opérera après la mort.
Le Bardo précise, dans différents Tantras cet évanouissement dure environ trois jours et demi. Cette durée ne rappelle t-elle rien ? D’autres traités mentionnent quatre jours.
Nous autres occidentaux évolués par tant de progrès, nous avions par le passé, le rituel de l’extrême-onction. C'est un sacrement donné aux mourants pour les aider à bien « mourir ». Mais ça peut également les ramener à la vie !
Concernant le Bardo-Thodol, ou livre des morts Tibétains. Le processus décrit dans le bardo ou état intermédiaire, entre la mort et la renaissance, n’est pas universel comme beaucoup auraient tendance à le croire. Pour une raison bien simple.
Les créatures sont lancées dans la vie, selon des orbites différentes, et chaque orbite, contiendra des dizaines de vies qui se succéderont et qui aboutiront à une finalité qui leur sera propre. Tout comme l’orbite à laquelle elles appartiennent. Mais pas forcément à l’orbite semblable, ou à l’orbite voisine. C’est une empreinte, un signe, une marque distincte qui se retrouvera dans les chromosomes eux-mêmes. Et ce sera toujours une particularité manifeste de l’orbite, à laquelle on aura appartenu. Car il y en a certainement des centaines et des centaines d’orbites, de manières, et de matières différentes qui se classifient, se généralisent dans la société, en se manifestant toutes identiquement. Mais ans relever pour autant, de la même trajectoire, ni de la même finalité.
On prétend également : « Quiconque a déjà franchi une fois, le seuil du dédoublement, aura déjà surmonté à moitié, la peur de la mort… ».
- C’est absolument faux ! De plus « à moitié » laisse entendre ou supposer, que la mort serait un véritable cauchemar !
Or, la mort est à l’inverse de la naissance. Son processus se contient dans la vie. La peur n’est qu’une appréhension ou une réaction humaine normale.
Les siècles ont passé mais la résurrection de Jésus demeure toujours un fait extraordinaire et inexpliqué dans l’Histoire de l’Humanité. Qu’il s’agisse de croire ou non, les Évangiles renferment une clé concernant le devenir de l’être durant et après la vie.
Jean. 2. 13. 22. 18. Les Juifs l’interpellèrent : « Quel signe peux-tu nous donner pour justifier ce que tu fais là ? » 19. Jésus leur répondit : « Détruisez ce Temple, et en trois jours je le relèverai. » 20. Les Juifs lui répliquèrent : « Il a fallu quarante-six ans pour bâtir ce Temple, et toi, en trois jours tu le relèverais ! » 21. Mais le Temple dont il parlait, c’était son corps.
Jésus avait annoncé à plusieurs reprises ce temps de trois jours procédant à la mort. C’est un élément clé dans le processus de la résurrection et dans le devenir de l’être.
Incarné sur la terre durant une courte existence, il est primordial de vivre, en essayant le mieux possible d’orienter sa vie. Inutile de se torturer, ou d’appréhender la mort avant le temps. Elle viendra en son temps. Il serait inutile également de se convaincre qu’après la vie tout fini. Un mystère demeure pour tous, quelles ques soient les mœurs, les traditions. Mais il n’est pas interdit de pourvoir à un capital, aussi minime soit-il, qui serait profitable juste après avoir franchi le seuil de la vie. Comment ?
Par la pensée tout simplement, et verbalement lorsqu’un proche se trouve en voie de « passage »: - Quand le silence demeure, là où repose le mourant sans vie ou presque. - Quand on ressent ce que l’on refuse d’accepter.- Quand la peur envahit, quand le vide se fait sentir près du corps inerte d’un être que l’on a aimé, et que l’on ne reconnaît plus vraiment. Serait-ce dû à l’âme qui s’en est allée, ne laissant ici-bas qu’une dépouille inanimée ? Or, malgré ces pénibles instants, il faudrait s’efforcer de parler sans retenue à l’agonisant, à celui ou à celle qui vient de mourir. Cette attention lui procurerait un réconfort qui lui est nécessaire, et qui lui serait salutaire. La parole, le verbe, le souffle, la vie. Aider sincèrement, l’extérieur importe peu ; au contraire, et à voix haute, le conforter pour qu'il soit conscient de sa fin incessante, ou de sa mort présentement. Selon la croyance, orienter.
Quand famille, ami il y a, c’est un soutien moral, et un secours permettant au mourant de diriger son esprit. À notre époque ce genre de recommandation pourrait faire sourire. Mais il faut dépasser le « qu’en dira t-on », ou l’ignorance !
Pour ceux qui sont seuls, qu’ils n’aient aucune crainte, l’ange gardien veille, cheminant très proche avec l’âme. Quelque soit le nombre d’années, vous serez assistés.
La mort effraie ? C’est humain et c’est normal, c’est inconnu. C’est l’inverse de la naissance. Nous sommes tous passés par là, à un détail près. Durant le passage dans l’au-delà, et après une durée de trois jours selon Jésus, « la conscience » qui demeurerait plus ou moins dissipée, mais non interrompue, émergerait alors. Ce n’est pas le cas pour le nouveau-né. Cette conscience pourrait rattraper plus tard, mais pas forcément, car elle pourrait demeurer sous-jacente une vie entière. On ne parle pas de la conscience neuronale *, déterminée par la science comme siège de l’intellect, animant l’être pensant et agissant. * Voir : Near Death Experience
Ce qui suit est à prendre au second degré, du fait que c’est avant tout une synthèse, dont le développement n’engage que l’auteur.
Nous rapportons en complément, des sources différentes : 1. Corinthiens, saint Paul. Et un extrait du Bardo-Thodol. Ces textes inciteront peut-être à la réflexion ?
Dans l’immédiat, levons un voile. Le dédoublement du corps éthérique, du corps physique, appelé sortie astrale, et pratiqué du vivant d’un individu, pourrait l’amener à penser que l’état d’après la mort serait identique. En effet, le passage doit être le même, mais jusqu’à un certain point. Lors de la mort, il y a rupture de la corde d’argent. De ce fait, il n’y a plus de réintégration possible, du double éthérique au corps physique.
Mais après un laps de temps de trois jours, nous ne savons pas si la pensée suit le corps éthérique comme durant un dédoublement. Sans savoir réellement, nous émettons l’hypothèse qu’à ce stade de non-retour, la pensée s’ assimilerait au corps astral, tendant à rejoindre dans la lumière attractive un plan supérieur*. Ou d’appartenance à Dieu indéfinissable. Pourrait-il s’agir d’ères de paix paradisiaques dont le présent dépendrait d’un devenir ?
* Selon les mérites, l’intégration dans un plan supérieur s’effectuerait par paliers. Mais on ne sait pas quels seront les états par lesquels on devra passer. Ni quelle durée envisager pour estimer une mesure de temps, dont la durée ne peut être appréhendée. On se perd.
Cependant, on pourrait se faire une idée. La religion chrétienne présente une hiérarchie classifiée en trois temps, ou trois catégories : « d’Anges, Archanges, Principautés » : « Dominations, Vertus, Puissances » : « Trônes, Chérubins et Séraphins ». Ils correspondent à une accession progressive dans un plan divin. Cette mesure toute approximative et non identifiable, faute de moyens, excepté peut-être par quelques rares individus spiritualisés parvenus à l’extase, permettrait de supposer que sur un plan astral supérieur, donc au-delà du plan invisible environnant la terre*, il y aurait différents stades se faisant par purification étagée ou neuf seuils angéliques à atteindre et à dépasser, avant d’arriver à un état divin total.
Mais avant d'être parvenu à ce stade, il faudra avoir accepté de franchir la limite de sa propre émission qui dans sa première étape, tendrait à se confondre ou à rejoindre cette lumière resplendissante, dont parlent les gens qui ont vécu une expérience de mort imminente. Après qu’ils aient décrit la traversée d’un long tunnel sombre séparant le matériel, de l’immatériel. C’est peut-être une raison pour laquelle, dans 100% des cas, tous ont fait le choix de revenir dans leur corps, poursuivre leur vie terrestre. Mais on ne peut rien affirmer, d'autant qu’ils n’étaient pas arrivés à leur « Fatum ».
Ici on pourrait entrevoir la réalisation de Jésus, puisqu’en devenant le réceptacle de la divinité, il a surpassé toutes hiérarchies célestes, mentionnées ci-dessus à titre d’exemple. Le modèle que le Christ a laissé est une évolution, à l’échelle d’une projection dans l’avenir. C’est au-delà des réalités supposées, et observées par une minorité peut-être, ou encore adaptées le plus souvent. Cela distance par exemple les anciens concepts basés sur le nombre 7 ou septénaire, fondement de diverses cosmogonies, d’où ont pu être établies des correspondances avec la nature, les corps subtils, les 7 chakras, les sept planètes connues à l’époque. Mais aussi, les sept rayons, décrits par des auteurs et théosophes modernes, 1875, dont nous ne partageons nullement, le soit-disant savoir.
Il n’est pas question de sectarisme, ni d’idolâtrie, ni d’exaltation pour n’envisager que l’enseignement de Jésus. Mais c’est plutôt une direction à préciser, ou à suivre au regard d’une évolution globale, qu’elle soit mentale, cultuelle ou spirituelle.
En effet, la réalisation du Christ dépasse le monde invisible, puisqu’il est la somme de neuf lumières supérieures ou mondes supérieurs par lesquels résonne : « Le Sermon sur La Montagne ». Ou « Les Huit Béatitudes » + une qui n’est pas révélée ! Ce qui porte à neuf le cheminement que l’âme aurait à parcourir, avant son retour dans un monde originel incréé. Le Paradis ? Loin d’être terrestre!
Abordons à présent le vif du sujet concernant l’après rupture de la corde d’argent. Le corps éthérique détaché du corps ou de la matière demeurera sur le plan parallèle. On peut d’ailleurs supposer que d’innombrables corps éthérique seraient en attente de réincarnation sur ce plan. Oui, c’est assez étonnant, et ça fait un peu science fiction. Mais le corps éthérique ne participera pas à cette pénétration dans l’état divin. Nous expliquons pourquoi plus loin.
La conscience non neuronale permettrait sur un plan astral, de réaliser le changement d’état (d’existence) qui se dévoilerait peu à peu à l’esprit, (du défunt), se reconnaissant peu à peu. Mais non plus limité, mais au contraire, porté comme dans un rêve, par un corps éthéré lumineux, rejoignant le monde fluidique, à travers le monde aérien ambiant.
Il est possible aussi que l’imprégnation terrestre, encore manifeste, amoindrisse la reconnaissance du nouvel état, d’autant qu’en principe, toutes activités autour du défunt pourraient être perçues. Mais sans qu’il puisse y participer visiblement et concrètement. Sans pouvoir être entendu, ni reconnu des vivants, ce qui devrait l’aider aussi à comprendre, qu’il est mort. Plus encore, si un proche ou d’autres personnes le rassurait dans ce sens justement.
Dans l’état astral les sens ordinaires seront accentué dans un corps extraordinaire !
Saint Paul mentionne, (1er Corinthiens, 3. 15. 53. et, 42 : semé corruptible, on ressuscite incorruptible. 43 : semé ignominieux, on ressuscite glorieux, semé faible on ressuscite fort..
Quand bien même saint Paul, présente ainsi la résurrection, sans qu’on ne puisse savoir où il puisa ses sources, ce qu’il décrit, correspondrait à un état dans lequel l’esprit se, (re), trouverait, ou encore se découvrirait sur un plan astral. Les descriptions de saint Paul révèlent sans doute une des singularités comprises dans la résurrection, (dont on a aucune idée), mais sans pour autant en relever, tout le sens que le Christ ressuscité a manifesté.
Dans le Bardo-Thodol, on explique au mourant l’état intermédiaire après la mort (donc le tout début de l’après vie), page 136 : « O fils noble, écoute encore. Doté de toutes les facultés des sens et du pouvoir du mouvement libre, (veut dire que malgré ce que tu as pu être de ton vivant), aveugle des yeux ou sourd ou infirme, dans ce plan d’Après la Mort, ton oeil verra les formes, ton oreille entendra les Sons et tous tes autres organes seront intacts, et d’une acuité complète. Voilà pourquoi il a été dit que le corps du Bardo, serait doté de toutes les facultés des sens. Cette condition d’existence où tu te trouves actuellement est l’indication que tu es mort ». Voir le processus dans le bardo. C’est très intéressant.
Cela confirmerait que le corps de lumière, le corps du Bardo, le corps de Gloire de Saint Paul serait le corps astral à un moment donné. Celui dans lequel la résurrection de Jésus s’est accomplie à un niveau divin, et pour une raison précise : Il n’est pas de même composition que le corps éthérique et de ce fait, les imperfections du corps physique ne l’affecte aucunement.
Le corps astral appartient au magnétisme d’un autre monde. Peut être, celui baigné dans la lumière du Seigneur pour un chrétien. De Allah pour un musulman. De Bouddha pour un bouddhiste. Le corps astral sera le repère !
Jésus a ouvert une voie sur terre et au-delà. Il est passé par les trois jours. C’est la première clé. Le seuil. Le savoir maintenant aiderait durant le changement d’état d’existence un jour. C’est une possibilité.
Nul besoin de penser à chaque instant de sa vie. Imaginer seulement, créerait une empreinte. Elle se retrouvera dans tout « les temps ».
Est-ce une simple tradition tout au plus ? Une aspersion d’eau ? L’habit ne fait pas le moine, mais durant ce rituel, l’eau fait le baptême.
Indispensable à celui-ci, l’eau devient un conducteur fluidique, véhiculant au nom de Jésus-Christ, l’Esprit saint. Cette énergie supérieure se répand alors par le sommet du crâne. C’est ce qu’on appelle aussi, recevoir un état de Grâce.
Le baptême est une revivification pour l’âme. Celle ci, se situerait très proche et le long de la colonne vertébrale, avec pour point de localisation, le cerveau. Mais non, dedans. Il y aurait une correspondance avec la Kundalini orientale, voir plus loin.
Voici le témoignage de Paracelse extrait : « Evangile d’un Médecin Errant » ; éd. Arfuyen, 1991, Paris.
« Il est erroné de comprendre le baptême comme si le Christ agissait à travers l’eau. Le Christ agit à travers l’Esprit Saint. C’est lui qui est l’eau du Christ. Celui qui est lavé dans cette eau est purifié. L’Esprit Saint baptise les cœurs et non le corps. Nous ne savons pas qui est baptisé et qui ne l’est pas. Car c’est lui l’Esprit, le don suprême qui purifie l’âme et le cœur comme le feu purifie l’or ».
Celui qui fut conduit par l’Esprit, trouva en un temps donné sous le ciel, celui qui baptisait dans l’eau de la terre.
A cet effet, nous lisons dans la première partie de l’Evangile selon Saint-Jean. Attention ! Ne pas confondre Saint-Jean l’Évangéliste, avec Jean le baptiste. Et voici quel fut le témoignage de Jean le Baptiste, quand de Jérusalem, les juifs lui envoyèrent des prêtres et des lévites, pour lui demander, qui est-tu ?
Et que loin de nier, sans se dérober, il déclara : moi je ne suis pas le Messie. Quoi donc ? lui demandèrent-ils. Est-ce que tu es Elie ? Et il dit : je ne le suis pas. Est-ce le prophète que tu es ? Et il répondit non. Alors ils lui dirent. Qui est-tu pour que nous puissions donner une réponse à ceux qui nous ont envoyés ? Que dis-tu de toi-même ? Il dit : moi je suis la voie de celui qui crie dans le désert. Aplanissez le chemin du Seigneur comme l’a dit le prophète Isaïe. « Moi je baptise dans l’eau… » ; s’exprime Jean.
Tentons d’approcher un peu le processus du baptême. Dans son évolution grâce à Jésus, le Sacrement du baptême, tend à nous faire accéder à un état supérieur.
Le baptême en principe, est une onction, qui se pratique avec de l’eau, créant ainsi un mouvement, qui s’effectue de la tête aux pieds, régénérant d’une certaine façon, ou rituellement, l’évolution de la colonne vertébrale, ainsi que l’évolution de la partie supérieure de la tête, avec ce qu’il l’entoure. C’est également une ouverture, comme l’éveille du Kundalini, produit également une ouverture.
Or, comme il se crée un contact, appartenant à ce moment-là, à un domaine supérieur, ou ultrasensible, il se peut que l’apparition de la colombe, selon le témoignage de Jean le baptiste, étant signe de pureté, accorde alors un état de grâce, qui descendrait de l’extérieur dans l’individu, par la fontanelle.
Et non comme le suppose à tort certains, prétendant que l’énergie libérée du Kundalini au Sacrum, monterait le long de la colonne vertébrale, canal central invisible, pour en jaillir par le sommet du crâne, trou de Brahmâ ou fontanelle.
Cependant, l‘éveil du Kundalini, doit être différencié du baptême, bien qu’ils se rejoignent. D’ailleurs, afin d’être plus précis, au risque de froisser plus d’un auteur averti, en ces domaines, cette montée du Kundalini, s’élèverait bien le long de la colonne vertébrale, en traversant tous les Chakras, oui, sauf un. Le dernier au sommet du crâne. Le Sahasrara. C’est-à-dire, celui qui est localisé à l’emplacement de la fontanelle.
Or, comme le prétend à tort, Gwenaël Verez : « La Mère et la Spiritualité » ; page 29 : « La Réalisation du Soi est une expérience intérieure qui se manifeste lorsque la Kundalini s’élève du sacrum parcourt la colonne vertébrale et jaillit au sommet du crâne. à l’emplacement de la « fontanelle ».
Ce terme ne fut pas choisi par hasard, fontanelle signifie : « petite fontaine » ; Qui à l’image de la Kundalini, jaillit et coule à cet endroit précis de la tête.
D’autre part, la prosternation, l’adoration ou encore l’attouchement ritualiste, pratiqué jadis, par les Templiers, c’est par les mouvements naturels de la colonne vertébrale, qu’il se crée une ouverture.
Maurice Guinguand nous apprend : « C’est ce que m’avait révélé un jour les compagnons, quand je les interrogeais sur leurs larges ceintures. Leur demandant à quoi servait la protection, de cette partie de la colonne vertébrale. S’il y avait une raison compagnonnique, il devait y avoir une raison d’initiation. En fait l’initiation était alors aussi vieille que le genre humain. S’il y avait initiation, il y avait rite, qui obligatoirement impliquait les gestes nécessaires, au réveil de ce serpent, pour en faire des initiés futurs.
Y a-t-il alors un grand pas jusqu’au baiser impudique, qu’on a prêté aux Templiers ? Tandis que c’était le culte humain, en la connaissance d’une partie physique, particulièrement vibrante. Sensible. Pour une ouverture à la connaissance » ?
Mais cette ouverture qui appartient toujours au corps humain, peut prédisposer à recevoir « autre chose », qui vient de l’extérieur.
On pourrait la nommer : « Magnétisme Supérieur », pouvant descendre et entrer en contact avec la Kundalini éveillée. Dans la voie Christique par exemple, cette liaison est probablement, le Saint-Esprit.
Mais il peut également être, l’apport d’une force supérieur, se traduisant par l’équilibre astral, ou astronomique de cet ensemble, qui entoure la vie et les êtres. Ainsi ce magnétisme extérieur ou astral, peut rejoindre justement les points d’ouvertures, que le corps humain aura préparé.
Ayant précisé ci-dessus, que cette liaison est probablement le Saint-Esprit, doit être compris, rapport à la descente du Saint-Esprit. Imagée par une colombe. Symbole de pureté. volatil qui se pose également au sol, à la vertical.
Comme ce fut le cas pour Jésus, sur les rives du Jourdain. Jésus incarné sur la terre dut être bien plus qu’un être éveillé. Puisqu’il pu redevenir physique sur le même plan, tout en changeant d’état. Un Christ ressuscité parmi les vivants ! Il semblerait que cela n’a pas du tout été compris. Alors que l’Ascension témoigne de Lui pour nous.
C’est en effet une transformation, qui s’est opérée. Non plus en chair vivante et organique. Mais en chair astrale et divine. Et sur un plan supérieur, cette évolution peut reprendre un aspect naturel, comme elle peut aussi devenir, tout à fait lumineuse, donc blanche.
C’est sans doute ce que perçurent les saintes femmes. Les premières au tombeau du Christ. Et si elles ne virent devant-elles qu’une forme. C’est qu’il eut fallu voir, sur ce plan supérieur justement, pour s’apercevoir que les vibrations qu’émettait la forme, n’était autre, que Le Seigneur !
Nous le retrouverons plus tard sur le lac de Tibériade avec les autres apôtres.
LES PROTECTIONS MIRACULEUSES
PAR MAURICE GUINGUAND
Il est d’usage fréquent maintenant que, chaque personne, ayant atteint un niveau d’élévation philosophique ou ayant reçu une certaine initiation, suppose qu’elle est guidée sur les plans les plus élevés et comme nous ne sommes pas toujours simples, on pense que l’on a à faire à des êtres supérieurs que l’on appelle guides, que l’on appelle gourou ou Maîtres cosmiques.
Il est certain que chacun a un ange gardien puisque, quand le couple se réunit, il appelle l’ange qui s’incorporera dans la matière ; cet ange y demeurera 7 ans. A l’âge de raison, l’ange quittera la matière et deviendra parallèle. Ce sera l’ange gardien.
Il accompagnera l’homme jusqu’à sa mort, et à la mort, au delà, l’ange aidera le défunt à franchir le grand tunnel et à se retrouver lui-même.
Revenons un peu à notre vie. Si nous réfléchissons bien, c’est presque un miracle que nous ne soyons pas tués au moins une fois par jour, soit par ce qui nous entoure, soit par une défaillance de l’organisme.
Ce miracle est le fait des êtres, des créatures qui veillent sur nous, non pas obligatoirement par affection, parce que chacun de nous, fait parti d’un groupe lié par des affinités mais peut être en application d’une certaine loi qui veut que chacun de nous vive jusqu’à l’heure de son destin et c’est là alors que l’ange gardien serait le protecteur, le défenseur d’un déterminisme.
Raisonnons par syllogisme : s’il est défenseur d’un déterminisme c’est qu’il appartient à la lumière soumise également à ce déterminisme d’évolution, de protection et de finalité.
Il n’est donc pas nécessaire de se référencer à des guides ou à des potentialités supérieures, soyons simples, conservons notre ange gardien. Il est la créature qui seule peut être la médiatrice, peut être la sauvegarde et en même temps le guide.
Lundi de Pâques 2013. Au lecteur : j’ai écrit, non parce que je sais, mais uniquement pour chercher à savoir. Je n’ai pas encore trouvé l’entendement des raisons de la vie. Je n'ai pas trouvé les motivations insoupçonnées de l’existence sur terre. Je n'ai pas non plus approché la destinée dans l’au-delà. Je pressens l’utilité des écrits, sources de connaissances. Sans compter qu’une trace pourrait éventuellement se retrouver dans l’Avenir ..
Table des matières
Le Christ................................................................................14
L’Ascension de Jésus.............................................................19
La Résurrection de Jésus........................................................21
La Résurrection du Christ est une révélation.........................25
Jésus.......................................................................................29
La Religion Mithra................................................................37
La disparition du corps de Jésus...........................................41
Les apparitions de Jésus.......................................................43
L’état qu’atteignit le Christ est unique. 55
Vision sur le monde parallèle. 61
Le dédoublement correspond- t-il à la mort ?. 68
Chapitre III Erreur ! Signet non défini.
Le double éthérique. Erreur ! Signet non défini.
Le corps astral Erreur ! Signet non défini.
Le corps divin. Erreur ! Signet non défini.
Chapitre IV.. Erreur ! Signet non défini.
Troisième Millénaire. Erreur ! Signet non défini.
Le Livre Urantia. Erreur ! Signet non défini.
La Réincarnation. Erreur ! Signet non défini.
Vatican II le paradoxe OVNI Erreur ! Signet non défini.
Chapitre V.. Erreur ! Signet non défini.
L’Eglise sans le ciel Erreur ! Signet non défini.
Benoît XVI Erreur ! Signet non défini.
Mgr Noyer Erreur ! Signet non défini.
Chemin de Foi Erreur ! Signet non défini.
Origines de la vie sur Terre. Erreur ! Signet non défini.
Chapitre VI Erreur ! Signet non défini.
Les Anges au Tombeau du Christ Erreur ! Signet non défini.
La seconde Pêche Miraculeuse. Erreur ! Signet non défini.
L’âme rejoindrait ceux qu’elle a aimés. Erreur ! Signet non défini.
Les chrétiens et la sexualité. Erreur ! Signet non défini.
Chapitre VII Erreur ! Signet non défini.
Evangile selon Saint Matthieu, 24-35 : ...
«.. Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point.»
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