Aïssata et moi, nous nous donnions la main. Moi qui ne voyais rien, je lui appris à écouter le pas des gens. Elle voulut m'enseigner les couleurs. Le jaune, c'est comme le soleil qui chauffe sur la peau...
Trop occupés à m’observer, les autres ne se rendaient pas compte de leur silence.
Le silence peut parfois être comme un désert dans lequel je me perds.
Et elle m’a donné un baiser.
On n’a pas besoin de voir les baisers pour les recevoir.
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A propos de l'auteur
Anonyme
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