Paul Scarron | Viabooks

Le Roman comique

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Paul Scarron

Romanciers du XVIIe siècle

Madame de La Fayette
Paul Scarron
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Le Roman comique

Paul Scarron

Avis de MarvinK sur Le roman comique

Quand on voit Scarron, qu'on remarque le Roman Comique, on sent qu'on va se poiler. Rien n'est plus vrai, mais rien n'est plus faut non plus. La structure du comique, la structure du roman, la structure de la société, et si tout ça venait de la même chose, si un roman après tout ne reflétait que votre propre propension à créer des histoires, et si Scarron n'était le double schizophrène du lecteur qui l'accompagne dans ses douces rêveries... Ne vous y méprenez pas, on apprend bien plus sur soi et l'art d'être avec les autres dans cet essai artistique transformé.

Pourquoi j’ai aimé ? : 
Pour l'aspect critique constructif de la littérature, le tout mené avec une apparente désuétude.
Ça parle de quoi ?: 
D'un paysan qui veut devenir quelqu'un, peut-être un lecteur...
C’est écrit comment ?: 
Avec très peu de sérieux, c'est peut-être ce qui le rend précieux.
On lit où: 
N'importe où du moment que l'on sait pouvoir éclater de rire à tout instant.
On offre à qui ?: 
A tous ceux qui croient qu'un vieux livre est fait pour rester prendre la poussière et temps en temps des coups de plumeau.
Et aussi, pour conclure: 
Scarron n'est pas le plus connu de son époque, cependant il a apporté beaucoup à la société et à la littérature, ce serait un grand hommage que de le remercier en le connaissant un peu.
Auteur(s): 

La Précaution inutile

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Le roman comique

Jean Serroy
Paul Scarron
Le roman comique

Extrait de Le roman comique de Paul Scarron

La charrette était pleine de coffres, de malles et de gros paquets de toiles peintes qui faisaient comme une pyramide au haut de laquelle paraissait une demoiselle habillée moitié ville, moitié campagne. Un jeune homme, aussi pauvre d'habits que riche de mine, marchait à côté de la charrette. Il avait un grand emplâtre sur le visage, qui lui couvrait un œil et la moitié de la joue, et portait un grand fusil sur son épaule, dont il avait assassiné plusieurs pies, geais et corneilles, qui lui faisaient comme une bandoulière, au bas de laquelle pendaient par les pieds une poule et...

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