Naissance à Brest le 08 septembre 1958. Bernard Coat L., de son vrai
nom Bernard Coat-Lacoste est un auteur français. Il quitte sa ville
natale après avoir fréquenté l’école des Beaux-Arts et le conservatoire
de musique pour "monter" à Paris, et suivre des études de cinéma. Il
exerce alors divers métiers dans le secteur audiovisuel. Outre des
postes de techniciens, il écrit alors des scénarios des films pour des
sociétés événementielles. Passionné de littérature depuis l’enfance,
attiré par toutes les formes artistiques, il décide de se consacrer à
Naissance à Brest le 08 septembre 1958. Bernard Coat L., de son vrai
nom Bernard Coat-Lacoste est un auteur français. Il quitte sa ville
natale après avoir fréquenté l’école des Beaux-Arts et le conservatoire
de musique pour "monter" à Paris, et suivre des études de cinéma. Il
exerce alors divers métiers dans le secteur audiovisuel. Outre des
postes de techniciens, il écrit alors des scénarios des films pour des
sociétés événementielles. Passionné de littérature depuis l’enfance,
attiré par toutes les formes artistiques, il décide de se consacrer à
Claude, le plus jeune, m'adresse la parole avec une certaine retenue,
non pas par timidité mais pour cause de pauvreté de vocabulaire ; ce
garçon n'a pas connu l'enseignement obligatoire, n'a eu ni le temps ni
le loisir pour devenir autodidacte et ses précepteurs de parents lui
apprirent uniquement le langage des beignes jusqu'à l'âge de douze ans,
époque à laquelle il quitta pour son bien, les deux Thénardier. Il
rejoignit la communauté des jeunes gens en errance, les années passèrent
et la vie lui fit le don mérité d'une compagne imperturbable, sa bonne
humeur.
Claude, le plus jeune, m'adresse la parole avec une certaine retenue,
non pas par timidité mais pour cause de pauvreté de vocabulaire ; ce
garçon n'a pas connu l'enseignement obligatoire, n'a eu ni le temps ni
le loisir pour devenir autodidacte et ses précepteurs de parents lui
apprirent uniquement le langage des beignes jusqu'à l'âge de douze ans,
époque à laquelle il quitta pour son bien, les deux Thénardier. Il
rejoignit la communauté des jeunes gens en errance, les années passèrent
et la vie lui fit le don mérité d'une compagne imperturbable, sa bonne
humeur.
Avis de lilou sur Du sang sur les docks
Un mot court vaut mieux qu'un long discours.
Ce roman est bien écrit, le personnage très sympathique attachant, on espère le retrouver très rapidement dans une suite car à la fin du roman on a encore faim.