La mondialisation a encore frappé. Avec le développement des
multi-éditions quasi simultanées, les traductionssont légion. Mots bâclés, formules
approximatives… peu importe le résultat semblent penser certains éditeurs,
pourvu qu’on ait le texte et vite. Il est loin le temps où les traductions
étaient confiées à de grands écrivains qui devenaient les passeurs de leurs
maîtres. L’objectif de la langue correcte
semble aujourd’hui composer un minimum, auquel il est d’ores et déjà difficile
de prétendre.