De la même manière qu’il existe un devoir de mémoire
pour les drames du passé, faudrait-il aussi instituer un devoir d’oubli pour
les faits ou les personnes qui dérangent ? Ou tout le moins une sorte de
mise au placard des auteurs, coupables d’exactions ?
[image:4,xs,g]Quand la peinture rencontre la littérature...Dialogue entre deux disciplines dont les correspondances nourrissent de belles perspectives. Analysons comment les relations entre peinture...