Après la terrible affaire du Château, si glorieusement terminée par la victoire de Bouzigue, la joie s’installa dans la petite Bastide-Neuve, et les grandes vacances commencèrent.
Cependant, la première journée ne fut pas celle que j’avais vécue par avance avec tant de frémissante joie : Lili ne vint pas m’appeler à l’aube, comme il me l’avait promis, et je dormis profondément jusqu’à huit heures.
Ce fut le tendre crissement d’un rabot qui me réveilla.
Je descendis en hâte aux informations.
Je trouvai mon père sur la terrasse : il redressait l’équerre d’une...