Les Écrits

Temporalité, consciences, technosciences -un 'moi' qui se temporalise en biographie

 

 Fragments épars d’une réflexion, protégés par les règles et droits de la propriété intellectuelle –ne peuvent     être cités sans titre, référence et nom de l’auteure -Réf 16022012

  

           Le «temps» désormais se métamorphose.

      - Temps concept éclaté en temps pluriel ; comme un substrat laminaire laissé à l’esprit qui s’y confronte pour le projeter en des univers différents pris à la logique du rêve (vitesses différentielles, sens indécidables ou réversibles, durées explosées…).

      - Temps-vécu mesuré toujours plus aux acquisitions et aux pouvoirs(-faire)  -et non plus aux développements processuels des mécanismes physico-cérébraux (bio-chimiques, organiques, mnésiques, personaux…).

      - Temps-devenir réduit au devenir fuyant et à l’immédiateté des désirs toujours plus fugaces...

   L’homme pourtant est en soutenance d’états, de processus et d’ek-stases pris les uns et les autres à une durée qui leur donne (et lui donne, à lui, sujet) une réalité et une densité.

 

      L’homme donc.

   Un être temporel qui devient : temporel et cependant persévérant dans son être devenant  -synthèse perpétuelle.  Ou encore, devenir et soutenance de devenirs  contre la stase ou l’inertie ou le chaos primitif d’énergies en particules agitées en tous sens.

   De fait, notre temps-devenir  et historisant rompt avec l’éternel retour du même. Ou encore, avec l’éternel retour des saisons qui scandaient jadis l’existence en perpétuité cyclique.

   La temporalité est alors la prise de conscience de soi comme être passant. Et le monde perçu l’est (perçu) dans une temporalité constituée d’avant et d’après  - ayant l’instant comme repaire unitaire : cet impalpable intercalaire placé avant d’autres instants déterminés et après d’autres encore. L’instant comme moment vécu dans une quasi confusion de la conscience quand elle frôle une non distanciation à elle-même (si proche du mécanisme biologique se faisant[1] qu’il en est, cet instant, sans existence temporelle avérée). L’instant est alors le non sécable et le non temporel : de ce point de vue, le monde se donne (est donné pour et par une conscience) comme une nuée ondoyante et atemporelle (infinie et continue) d’instants….   L’homme est alors celui qui ordonne, donne sens, discrimine et mémorise : celui qui donne réalité et matière. Celui aussi qui projette…

   Du point de vue interne/intime, le temps est mesuré par l’étalement des processus biologiques qui nous font être dans la connaissance que nous en prenons en relation avec des changements perçus et sur fond de ces processus. Dès lors, la temporalité est associée à la prise de conscience de soi par soi comme être ‘passant  -prise de conscience nécessaire au travail qui fera d’une vie une existence et d’une existence un projet sensé à inscrire dans une généalogie particulière et dans un monde commun. Ou encore, une identité  conscientielle s’établit dans l’articulation de la conscience du temps et de la conscience de soi, dans le savoir et l’acceptation d’un devenir propre (et de sa finitude)   -savoir  recouvrant une prise en compte, acceptation  relevant de la participation. Et l’on  peut entendre le récit de F. Madioni : «Le monde d’Irène est ainsi réduit, fermé à toute possibilité de liberté. Il est un monde à l’envers où l’espace existentiel du futur est inexistant (…). La psychose est ainsi le monde de la mort, car un monde qui ne change pas se nie comme structure de vie (…). C’est ainsi qu’elle revient dans un temps antérieur, précédant sa naissance, acte de mort et non de vie, et grâce à ce mouvement en arrière, il est encore possible pour elle de naître.»[2].  De fait, le temps (ou encore l’inscription dans une histoire directionnelle) est nécessaire à l’édification d’un ‘moi’ viable et vivable. En effet, être ‘en même temps’ ou ‘au même temps’ et être ‘après’ sont des modes d’être à autrui et au monde quand ceux-ci se donnent comme  vis-à-vis distinct ou événement émergent  –c’est-à-dire distingués.

   Dans la relation à l’autre, le Temps-concept devient de facto (et existentiellement) temps vécu tridimensionnel : passé/présent/futur…. 

   En un sens, certaines maladies mentales se traduisent par l’identification du vécu à un temps artificiel ou conceptuel : un temps mathématique sérié ou découpé en instants que la conscience ne pourra plus (ré)assembler en une cohérence unifiée et unifiante  (‘moi’ fragmenté)  -raison pour laquelle l’extraction clonale en dehors de la dimension générationnelle est inquiétante. Pour le dire différemment, la rupture eu égard au temps, eu égard à l’histoire, eu égard au devenir, est facteur de pathologie pour l’individu[3] car la conscience du temps est ‘l’historicité’ du Moi : conscience d’être, de devenir, d’être un être en devenir qui s’inscrit et s’insère dans un monde donné changeant et historique. La temporalité et le devenir paraissent être la forme que revêt l’expérience (le vécu constitutif) de la subjectivité. Et l’homme se construit et se soutient dans un rapport aux temps divers (celui de son métabolisme, celui de ses expériences et de sa mémoire, mais aussi celui du monde, du passé, de l’instant et du futur…) qu’il mesure et fait être. L’homme n’existe pas sans la flèche du temps qu’en un sens il est et invente.

   Aujourd’hui pourtant, dans cette ère de violences multiples, cette civilisation mécanique qui tend à réduire l’homme à la machine perfectionnée qu’il crée ou créera, qui l’enferme en des tours infernales, l’isolant toujours plus de ses compagnons d’infortune solitaire, dans cette autisme ou cette forclusion généralisée, l’autre de l’homme fait son apparition : a-historique et dépossédé de projets propres pris à une trame commune. Homme en rupture, homme de ruptures  - laissant ses nécessaires déliances se pervertir en  désinvestissements (sans plus d’appartenances, sans plus de racines, sans plus même d’identité maintenue en cohérence sur la ligne œuvrée d’un temps-biographie).

   Pour nous, l’historialisation  recouvre l’existenciation d’un individu qui se fait ‘récit’ (en intersubjectivité) au cours d’une durée inscrite en une histoire globale qui l’accueille et qu’il aura à poursuivre. Elle est travail : d’un  sujet qui est et se vit en devenir  –auquel donner sens. Travail (et état situationnel advenu) recouvrant une perception, une compréhension, une intégration et une transgression (hors du donné, du présent, de la forclusion ou de l’ego-centré). Recouvrant finalement une construction de sens et de liance. A ce titre, l’historialité est le propre d’un  individu dont l’identité est tautologie ouverte  –selon une ouverture conscientisée, soutenue puis élargie. Dont la conscience est mesure d’une temporalité  garante des actions à l’encontre de l’éternité  –domaine d’un Pur Esprit imaginaire (infiniment lié à lui-même).  En telle situation, la durée (réalité d’un devenir, lieu-substrat d’une action) s’impose comme une condition de liberté : contre un univers onirique où le désir meurt d’une satisfaction qui le recouvre, où le possible est indiscernable du réel  et l’homme condamné à assister au spectacle des transformations de l’univers au gré des modifications de sa conscience volitive. En conséquence, l’homme est libre quand il peut poser une fin (c’est-à-dire un transcendant) dans un ailleurs  exigeant un devenir conjoint du monde et de son être.  Si cette fin est dite transcendante, c’est qu’elle est tout à la fois but et motivation, accessible et séparée, réelle et ‘pensée’, concrète (en sa réalité projective) et abstraite (dans un présent la connaissant de son absence). Il s’agit  conséquemment dans l’aventure humaine, tant collective qu’individuelle, de jongler et de composer avec les données imposées, les limites infligées et les projets soutenus. 

Pourtant, les technosciences recouvrent une tendance propre à figer le temps et le vivant   -dans l’azote ou dans l’identité génétique. Et les petits des hommes sont aujourd’hui jetés dans un monde en représentation où l’individu se fait personnage et découpe son existence en moments  -déconstruit sa personne en plans ou pans circonstanciels, déstructure sa personnalité en expressions optionnelles, scinde sa biographie en scénettes et défait son Histoire en anecdotes. Pourtant, le besoin toujours déjà satisfait ou le besoin jamais satisfait (un impossible manque ou une impossible satisfaction), c’est la même chose : la mort assurée de la vie psychique dans le premier cas, la mort physique certaine dans le second  –la mort psychique conduisant finalement à la mort physique. Pourtant encore, l’homme des technosciences se liguerait volontiers, à corps défait et perdu, contre le devenir (celui qui n’est pas maîtrisable ou qui mène à la vieillesse)  -se liguerait, à histoire, généalogie, liance et sensibilité perdues, contre ces mouvements créateurs et innovateurs, évolutifs et facteurs d’évolutions.

   En fait, l’historialisation ou l’historialité humaine comme l’unité biographique individuelle constituent un point fondamental dans les processus de réalisation (de soi comme être réel, du monde comme réalité). Et ce qui fait l’humain  tient à un arrachement au présent et à l’immédiateté, sur fond de passé vécu et vécu comme passé propre, à  l’horizon d’un projet cohérent (ou de cohérence) tendu vers l’avenir  –cela donc qui rend possible un sentiment d’existence vraie (sensée / signifiante) et un détachement (par rapport à soi-même) au nom de l’autre. C’est cet arrachement qui rend possible l’édification d’un sens et d’une éthique.

   Au vrai, l’enracinement au monde stable et stabilisant mais néanmoins changeant, l’arrimage dans l’histoire[4], et encore l’insertion dans la matière, la culture, le projet social ou anthropologique, et finalement l’immersion dans la situation d’un être en-soi pour-soi et pour-autrui,  sont conditions d’échappée à l’idéalité, à l’abstraction, à la vanité et à la virtualité d’une liberté purement platonicienne (idéelle et/ou décisionnelle). Le ‘moi’ se trouve et se connaît, en sa réalité comme en sa signifiance, dans ses changements et ses confrontations : changements intrinsèques intégrés dans un monde qui se transforme et dans un temps qui passe ; confrontations physiques et intellectuelles à un univers et à un temps qui font obstacle avant que de s’incurver quelque peu et temporairement sous l’action du contact établi.  Comme le souligna F. Madioni : «Dans l’univers du schizophrène, le temps a été décrit comme ne s’écoulant pas, il est, nous le savons, figé et immobile. Mais il nous semble qu’un temps hors de tout mouvement n’est pas vraiment pensable, car nous serions  transportés dans le monde de la mort et non dans celui de la vie. (…). Du point de vue du patient psychotique qui vit ce temps comme absolu et inarticulé, il est sûr que le temps est fixe et l’idée d’éternité coïncide avec le vide et avec l’absence de temps. (…) l’éternel est pour la patiente un point fixe et immobile de son univers perceptif, car les expériences ne se lient pas entre elles, à chaque moment…»[5]  -où donc les symptômes de la pathologie mentale (temps, histoire, récit existentiel et générationnel, et encore psyché et corps arrêtés) se donnent désormais pour idéal. Et malgré les multiples avertissements, le temps de l’action et de l’être, qui est également celui du besoin et du devenir, apparaît désormais tel le mode inadmissible de l’aliénation ou de la sénescence  –à défaire. A défaire et contrefaire en un présent toujours reconduit. Temps nié où se réduirait ‘idéalement’ toute distance ou tout écart entre volition et obtention   -celui d’un corps toujours lisse et fonctionnel, celui d’un éternel recommencement, d’un espace purement virtuel et d’une mort  incessamment repoussée dans l’attente d’une a-mortalité (de l’esprit informatisé ou/et d’une copie corporelle). C’est conséquemment bel et bien d’un combat mené contre le temps-devenir (ou durée fléchée) qu’il s’agit. Combat mené contre une durée faisant obstacle à une satisfaction immédiate. Cela quand pourtant le besoin attache l’être à l’action et à l’existenciation  –à son corps et à son projet autant qu’au monde et à l’autre.

   Au final, la question est celle du propre de l’homme[6]  -celle de cette spécificité l’exorbitant  de l’animalité et que l’on nommera l’historialité.  Or, les techniques  et toutes leurs dérivations en matière de procréation et de (re)production tendent à rompre avec l’Histoire et la temporalité. Rupture eu égard au passé évolutif spéciel, eu égard au passé culturel anthropologique, eu égard à la généalogie individuelle, eu égard aux cycles, eu égard au temps. Et  rupture  à l’encontre de la continuité d’une existence continuée et fléchée ex-istée par un individu en unicité et cohérence personale. Où donc les technosciences rencontrent le désir pulsionnel et parfois obsessionnel de suspendre le temps. Suspendre, remonter, neutraliser. Et régresser à la reproduction clonale reproduisant le même et confondant les générations….  Faire du temps un non-temps… Cela quand l’historialité et l’historialisation de l’homme, de l’Homme spéciel et de tout individu, s’avèrent en constituer un trait fondamental  –au-delà de la communication, du rire, de la sociétalisation, du tabou, des conflits, médiations et réconciliations dont on trouve trace dans les sociétés simiennes. Au-delà même, diront certains[7], d’une élaboration culturelle.

  

       "Durée :

Toute culture s’édifie dans la durée  et se construit de ses acquis - à l’horizon d’un idéal. L’homme, de même, se préserve en réalisations ou mémoires - s’élabore dans une évolution. En l’occurrence, la temporalité, qu’il échelonne en l’inventant de ses actes et limites, est tant un substrat nécessaire qu’un mode essentiel.  Car il s’agit pour lui  de vivre en une durée mesurée des métabolismes qui s’y accomplissent. Et d’exister ; en un temps comptabilisé des phénomènes psychiques qui s’y expriment.

Vivre donc, entre la naissance et la mort rendant la matière aux réactions sans devenir. Et ex-ister, entre l’émergence conscientielle et sa disparition laissant à la mémoire du monde le soin d’une trace dressée contre l’explosion du trajet existentialo-temporel. Etre et se soutenir en un arrachement à soi : sorte de projection vers l’au-delà (du moment présent ou du soi).

A cette mesure, l’identité émarge à ses donnés ponctuels : elle se forme, s’étend et fait retour sur «soi». Semblablement, la personnalité recouvre une mémoire vivante : articulation de plans et pans, sensibilités ou spécificités – articulation tendant à la perdurance d’un nœud identitaire ou à l’élaboration d’une cohérence biographique.  L’homme est alors celui qui n’est plus ce qu’il était tout en étant toujours celui qu’il n’est plus. «Il» n’est pas «son» avenir  car une durée l‘en sépare.

Partant, l’homme est projet – être de projets :

Parce qu’il est mouvement exploratoire  de son univers - qu’il se décentre  en  projections ou introjections  pour se transposer en représentations dans un avenir matérialisé par sa seule conscience. Parce qu’il projette – tire des plans, porté par des intentions, sous-tendu par une identité (peu ou prou stabilisée en sa spécificité diachronique), enrichi d’affects et poussé par le perception d’un temps limité et irréversible.

En ces décentrages comme en cette conscience du temps qui passe, l’homme est un être de questionnements ou d’angoisses, de manques ou de besoins, de désirs ou de volitions - et de relations ou de liances. Le satisfaire dans un «toujours déjà», le priver d’objectif ou l’anesthésier dans ses pulsions et sensibilités, c’est le suspendre en  abstraction ou le figer en instantané. La clinique illustre d’ailleurs magistralement l’homme-absence : «(…) la personnalité frontale, écrit Cyrulnik,  ne vit qu’au présent (…). Puisqu’il [le lobotomisé] n’évoque plus les temps révolus, aucun échec ancien ne peut le faire souffrir. Et, comme il n’anticipe plus et ne peut rien planifier, il n’éprouve plus l’angoisse de l’avenir (…). / L’homme lobotomisé demeure immobile, alors qu’il a tout pour marcher (…).»[1].  

Tel blocage ou tel abandon de soi soulignent  l’importance d’un temps vécu, d’un devenir historialisant et d’un advenir historicisé. Mais aussi, l’importance constituante (et rétro-constituante) de l’altérité. Ainsi, angoisse (ou manque, et conscience de soi comme être de passage), temporalité (d’une existence tendue vers l’autre, tournée vers l’avenir) et historicité (inscription mnésique) interfèrent pour réaliser l’homme dès lors qu’il se spécifie[2] par une existenciation en une durée fléchée et en un temps qu’il mesure en s’y inscrivant –invente en s’y soumettant. 

Rapporté à ces faits, l’homme est mémoire  affectée. Mémoire accumulant, organisant et opérant une intégration différentielle ou chrono-différenciée –dessinant la densité d’une singularité extensive en  un trajet existentiel réel.

A cette aune, la spécificité  individuale tient à l’occupation corporelle et pensée d’un espace et d’un temps (...)", in 'Ce petit rien, ce petit lien? L'identité humaine à l'épreuve de l'opérativité techno-scientifique', Editions Le Manuscrit 

[1]L’ensorcellement du monde,  p. 81-82 // Par ailleurs, «Les lobotomisés, qui vivent le temps comme un pointillé de présents, n’ont aucun sens de l’empathie. S’ils pissent sous eux, ce n’est pas parce qu’ils ont des troubles sphinctériens, mais parce que, soumis à leur envie de pisser, ils y répondent sans tenir compte de l’effet que ça produit sur l’autre.», Ibid., p. 83.

[2] Donne sens à son existence, densité à sa personnalité ou réalité à son insertion dans la communauté humaine.

[1] Mécanisme biologique en action que la conscience est aussi

[2] Le temps et la psychose,  p.  61. 

[3] En tant qu’unité réelle et appréhendée, en tant que sujet unitaire et unifiant, en tant qu’unité identitaire.

[4] Comme aussi l’historialisation du corps en ses développement, épanouissement, maintien et déclin (déclin des possibles affirmatifs, des possibilités réparatrices, des maintenances) ; comme également l’historialisation de la personne en son édification ipséique, psychique, personnale et existentielle.

[5] Le temps et la psychose,  p. 138-139.

[6] Hormis l’intensification et l’extension des processus mentaux et des phénomènes y attenant présents en germe chez les grands singes    -phénomènes y attenants, c-à-d conscience de soi, éthicité, symbolisation, dé-engagement…  Le lecteur intéressé trouvera des développements édifiants dans le livre édité sous la direction de Y. Coppens et P. Picq : Aux origines de l’humanité. Le propre de l’homme, Ed. Fayard, 2002.

[7] Voir à ce sujet C. Boesch dans le livre précité (Aux origines de l’humanité…) : Les différentes populations de chimpanzés appartenant à une seule et même espèce chassent, partagent les mets les plus recherchés, usent d’outils et font la «guerre» selon des rites, des techniques et des comportements différents.

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