Nonobstant, les frontières organiques, ontiques et spécielles se dissolvent toujours plus - déstabilisant un corps qui cesse peu à peu d'être une assignation à résidence ou à identité pérenne pour se faire avatar temporaire ou présentoir modulable. Ou encore, pour se dénaturer en prothèses reconstructibles (d'un 'moi' en quête continuelle d'incarnations essentiellement provisoires). S'ensuivra, pour la subjectivité 'désincarnée', une quête éperdue d'un lieu destinal. Une quête impossible d'un répondant infaillible susceptible d'accomplir le travail fondateur. Et une soif conséquente d'incarnation transgénérationnelle, plus clonale que filiale: ....