Laurent Petitmangin: le populisme de «Ce qu’il faut de nuit»
Une famille marquée par l’engagement syndical voit l’un des siens choisir l’extrême. Entre vertiges de la violence et refuge dans le silence, qui est coupable ? Qui ne l’est pas ?
Une famille marquée par l’engagement syndical voit l’un des siens choisir l’extrême. Entre vertiges de la violence et refuge dans le silence, qui est coupable ? Qui ne l’est pas ?